Porte de la citée

Je n’avais plus d’espoir, il valait mieux fuir avant qu’il ne s’énerve. Je pris une petite porte qui me fit montait dans une maison, passa d’autres portes jusqu’à tomber dans une impasse.
J’attendrais un peu ici le temps que ça se calme. J'espérais de tout mon coeur qu'il ne m'ait pas suivi, mon coeur battait de plus en plus fort.

Tu entres dans une petite habitation de trois pièces, tu cours jusqu'à surgir dans la cuisine en renversant une pille de casserole et d'assiettes dans un brouhaha de métal et de porcelaine brisée.

La tu découvrir une gamine de 5-6 ans, recroquevillé dans un coin serrant contre elle un chien en peluche.
Elle sanglote en appelant sa mère.

Je n'entendais pas le squelette monter les escaliers, je pus me détendre et respirer lentement.
Je regardais fis rapidement le tour de la piéce avec mes yeux et pus voir une cuisine. Saudainement je vis une petite forme dans un coin.
Aprés une observation plus approfondit, je compris que c'était une petite fille, ne voulant pas l'effrayer je m'en approchai doucement et sortis un bonjour avec le plus de tendresse dans la voix.

Elle lève ta tête vers toi et te regard de ses grands yeux bruns, elle serre fort sa peluche contre elle, ses cheveux brun et ses vêtements sont recouvert de cendre.
Elle répond si bas que tu as du mal à l'entendre.

Fillette - Bonjour...

Son visage d'ange se découvre devant moi, mon regard se plonge dans ses grands yeux noirs, elle complétement recouverte de cendre.
Des pensés attroces passent dans ma tête, je commence à m'imaginer les autres persinnes dans sa situation, mais que se passe t'il donc ici. Depuis que j'étais arrivé ici je n'avais pu lire que la peur sur le visage des gens que j'avais rencontré.
Dis moi, comment tu t'appelles? Peux tu me dire ce qu'il se passe ici?

Emilie - Emilie...

Elle semble ne pas pouvoir repondre à ta deuxième question.

Son silence pour ma deuxiéme question ne me mis pas en confiance. Pauvre enfant elle était là toute seul, je devais l'aider.
Où sont tes parents?

Emilie - Ils sont parti... maman ma dit de pas bouger....

Elle renifle et arrête de pleurer.

Emilie - Puis y a eu un boum et papa et maman sont encore parti.

Pourquoi ses parents ne l'avaient ils pas prise avec eux, l'avaient ils abandonné. c'est honteux une enfant si jeune.
Connais tu des personnes dans la ville qui pourraient t'aider?

Emilie - Non...personne...

Elle pleure à chaude larme et d'un bond, s'agrippe à toi.

Emilie - Ne me laisse pas ici...

Une petite larme voulu couler de mon oeil.
Connais tu un endroit tranquil dans cette ville?

Emilie - Non... on parts, je veux pas rester...

Elle te sert fort, ses larmes mouillant tes vêtements.

Je ne pouvais pas revenir sur mes pas. Pauvre enfant elle était complétement désespéré.
Y a t'il une autre sorti que celle qui donne sur la petite ruelle?

Emilie - Oui dans le salon...

Avant de sortir de la cuisine je colle mon oreille à la porte pour voir si j'entendais le squelette, mais aucun son me parut à l'aoreille.
Je pris la main de la petite fille et sortis de la cuisine. J'ouvris la premiére porte qui je trouvai et par chance se fut le salon.
Il était complétement délabré, ce qui restait de la piéce était recouvert de cendre et le sol était miné de cailloux.
Je ne voyais pas la porte, de nombreux débrits s'étaient retrouvés sur le mur.
Emilie, où est censé se trouver cette porte?

Emilie lève la tête, du haut de son mètre elle peine à te voir en entier, tu te sens bien grand.

Emilie - Là, près de l'armoire.

Je me dirige vers l'endroit indiqué et commence à déblayer l'ama de débris.

la porte donne sur une ruelle large d'un mètre cinquante. longue de six ou sept mètres, elle conduit à gauche sur une rue ou une groupe de cinq démon reste immobile autour d'un tas de cadavre, à droite elle conduit à une autre rue ou la plupart des immeubles sont enflammés.

A peine avoir passé la tête par la porte, que je fis un pas pour rentrer. J'avais cru pendant un instant que mon coeur allait exploser. Il y a deux routes.
Je repassai ma tête dehors et regardai la route de droite en examinant le décor.
Puis je regardai de nouveau Emilie.
Dehors il y a des méchants, je vais te prendre dans mes bras et on va courrir loin d'eux pour se trouver un autre endroit où se réfugier. Je voudrais que tu ne faces pas un bruit s'il te plait.
Je prends Emilie dans mes bras, et remarque sa petite taille et son poids plume.
Je me place devant la sortie, mets un pieds derriére m'appuie un peu dessus et me lance.
J'emprunte la route de droite je cours le plus vite possible et me cache derriére le plus d'objet.

Emilie s'accroche à toi en passant ses petits bras autour de ton cou, fermant les yeux, sans doute pour ne pas voir l'horreur qui ce déroule.
Tu cours à toute vitesse en quête d'un endroit sur, quand un démon gigantesque, sorte de dragon mort-vivant te remarque. S'envolant il te suis crachant plusieurs boules de feu que tu parviens à éviter.

A l'approche du dé mon volant je mis à courir de plus en plus vite.
J'avais peur, peur de mourir, peur de laisser cette pauvre enfant seul, depuis sa naissance avait elle déjà connu la joie de vivre.
J'entendais des détonations justes à coté de mes oreilles, je regarde derrière moi pour voir ce que c'était, et là je vis l'horrible face du démon un dragon géant qui devait être mort, commençait à me cracher d'énormes boules de feu.
Mais que faisais je ici en enfer.
Je continuais de courir de droite à gauche de la ruelle pour passer derrière les débris qui me servaient de barricade le temps d’une boule de feu.
Je ne voyais aucune porte par laquelle je pourrais rentrer, enfin si, il y avait des portes mais derrière, il n’y avait plus de bâtiments seulement un amas de roches et de tuiles.
A la vue d’une petite ruelle qui devait servir de coupes gorges pour des voleurs, mes jambes commencèrent à entamer la dernière grande accélération pour se réfugier dans cette sombre ruelle.

Tu te réfugies dans une étroite ruelle. Le dragon continue sa folle course droit devant lui, un violent courant d'air te bouscule alors que la créature passe à proximité.

Le ruelle est sombre et ce termine en cul de sac, tu remarques pourtant une boucle illuminé par quelques lueur des flammes sortant des fenêtres de la bâtisse d'en face.

Visiblement il s'agit d'une trappe.

Je sentie comme un coups de fouet dans mon dos qui me propulsa en avant je serrai un peu plus Emilie sur moi de peur de la faire tomber.
Au moment ou je fis un bon en l’air je vis une sorte de trappe dans le sol.
Aussitôt je m’y dirigeais au pas de course et tentai de l'ouvrir pour voir ce qu’il y avait à l'intérieur.

Tu ouvres la trappe, dévoilant un escalier s'engouffrant dans la pénombre.
Emilie te lâche quelque peut et tourne la tête.

Emilie - On va là ?

Je regarde la petite fille, puis regarde derrière moi, je repense aux derniers événements qui se sont produits et aux cinq démons qui se trouvaient de l'autre coté de la rue.
Je pense que nous n'avons pas le choix.
Je n’arrivais pas à voir le fond de la trappe.
Je dépose Emilie à terre et commence à descendre quelques marches. Je m’arrête rapidement tends ma main et récite une formule. La bague situé à mon majeur commence à s’illuminer.