Porte de la citée

Une foi sortie de ce trou je pris conscience que de la terre s’était infiltrée dans mes vêtements cela me gratter le dos, les pieds, la tête. Une sensation qui me déplaisait fortement, mais par chance je remarquai que j’avais atterri dans une salle avec un bassin.
Je me mis dans un des coins de la pièce commençai à me déshabiller, puis une foi dans mon sous vêtement blanc je pris mes vêtements plein de terre et les secouai.
Ensuite, je commençais à me diriger vers l’eau et y rentrer doucement. Je me rappelai les moments ou je me baigné avec mes amis. L‘eau était trop froide pour que je m’y engouffre totalement et aussi je n’en avais pas envie ce n’était pas le moment idéal, je restai là ou j’avais pieds pour pouvoir me frotter.
Après quelque minutes à rester au bord de l’eau je remarquai les champignons accrochés au mur.
Une idée un peu folle apparut dans ma tête. Je pris un de ces champignons et retournai dans l’eau, le champignon continué de briller sous l’eau.
Après une profonde inspiration je plongeai dans l’eau et commençai à me diriger vers le fond peut être que je pourrais y trouver des choses interressentes.

Jotun

Le sang coule et active le bracelet, ta transformation est rapide mais très douloureuse. La créature recule et disparait dans la fumée.

Sophia - Jotun ! Le dôme est instable.

En observant le mur de feu tu remarques effectivement que le dôme se rapproche dangereusement, Ondulant et crépitant.

Eclairé par la lumière fluorescente de l’étrange champignon, tu te laisses couler dans le puit rempli d’eau, trois mètres plus bas, le conduit se poursuit et remonte après quelque mètres.

Le serpent garou ne comprit pas la réaction de la créature, qui à l'instant, était sur le point de l'attaquer.
- "Que..."
Observant le dôme, il convint que la jeune femme avait raison.
Le tieffelin garou serpenta jusqu'à l'éladrine.
- "Que pouvons-nous faire ? Crois-tu que nous puissions quitter la ville et atteindre l'oasis, Sophia ?"
Le tieffelin avait rengainer son cimeterre et ne cessait de serpenter autours de la jeune femme, en observant une éventuelle présence de Mantuok. sa langue bifide frétillait sur ses lèvres.

Des volutes et flammes coulent du dôme, s'écrasant lourdement contre le sol. Une véritable pluie de feu s'abat sur les reste de la cité. Sophia s'accroche à toi, sur ton dos.

Sophia - Vite cours !

Le bruit caractéristique d'une colonne de liquide gluant et incandescent rugis pile au dessus de ta tête.

Je fis demi tour pour reprendre mes affaires je venais sûrement de trouver le seul moyen de quitter cette grotte, de nouveau hors de l’eau je pris tout mes vêtements et les mis dans mon sac même si cela ne servirait à rien pour ne pas les mouiller je ne pouvais les laisser ici, comment ferais je ensuite.
Une fois mon sac autour de moi je retournai doucement dans l’eau, j’espérai qu’il ne me dérangerai pas, loin de moi l’envie de mourir noyé.
Je repris mon champignon et en mis quelques un dans mon sac. Et c’était parti j’étais sous l’eau, je commençais la descente, puis ensuite la remonté jusqu’à, espérons l’air libre.

Jotun

Tu t'enfuis à toutes allures alors que des colonnes de feu s'écrasent autour de toi, au bout de la rue tu remarques une brèche dans le dôme qui s'affaisse comme une bulle gluante qu'on aurait crever.

Aédan

Tu retiens ton souffle et parcoure le petit tunnel qui te conduit dans une autre grotte. Immense, véritable cathédrale de pierre, cette endroit est impressionnant, tu te trouve au centre d'un petit plan d'eau alimenté par trois ruisseaux.

Ou étais je encore arrivé ce labyrinthe ne cesserait il donc jamais ?
Je grelottai malgré moi, je fis basculer mon sac sur le sol et commença à éparpiller tout ce qui se trouvait à l’intérieur, heureusement mes herbes étaient soigneusement emballées à l’abri de tout intempérie, j’en pris une petite pincée la plaça dans le creux de ma pipe approcha ma fameuse rune et l’alluma. Je sentis tout de suite la chaleur s’approprier mon corps. L’effet de l’herbe était léger ce qui me permis de me mettre à la tache je commençai à étaler mes vêtements et les essorai le mieux possible je les tournai, tournai pour les faire cracher le plus possible d’eau je n’avais pas le temps de les laisser sécher à l’air libre j’avais une envie présente de déguerpir de plus cet endroit ne me disait rien de bon.
Une fois mes habits à peu prêt essoré je les enfilai remis tout mon bazarre dans mon sac, puis, pris mon arc que je mis dans mon dos.
Pipe au bec, champignon en main j’étais prêt pour repartir. Chacun de mes déplacements étaient accompagnés d’un doux son qui signalait que mes habits n’étaient pas encore sec.
Et je m’enfonçais pas à pas dans les noires Abymes terrestres.

[Palais du dirigeant]

Arrivé sur place, Ranulf n'y croit pas, déjà lorsqu'il a traversé la ville pour arriver ici les corps encombraient les rues, mais ici le résultat est encore plus spectaculaire, des éboulis partout, des coprs calcinés ou en fin de combustion. C'est alors qu'il aperçoit un groupe qui se rapproche d'une brèche identique à celle qu'il vient de franchir. Il se remet à courir en direction de celle-ci, à bout de souffle, il tente de devancer le groupe de Jotun.

Aédan

Perdu dans les profondeurs obscures de cette étrange grotte où seul le doux bruits des ruisseaux vient perturber le lourd silence, tu ne peux qu'avancer, suivant un semblant de chemin, serpentant entre les stalagmites.

Après une bonne demi heure de marche, tu parviens jusqu'à un autre petit bassin qui aliment l'un des ruisseaux, lui même alimenter par une petit chute d'eau d'une hauteur de quatre mètres débouchant d'un trou dans la roche. L'eau est clair et le bassin fait une taille de quatre mètres sur trois, profond de plus où moins deux ou trois mètres.

Au fond tu distingues une forme étrange, tu à l'impression qu'elle bouge.

Jotun, Ranulf

Tu n'es plus qu'à quelque mètres de la brèche, le gnoll cours à tes côtes, le donne s'affaisse et risque dangereusement de vous écrasez, si vous n'êtes pas carbonisé avant.

Une vague de lave jaillit devant vous, large d'une vingtaine de mètres, si vous ne faites rien, elle va vous submerger.

Sophia se tient comme elle peu, ballotté dans un sens puis dans l'autre.

Sophia - Droit devant !

Tu contournes rapidement la vague de magma qui se fracasse contre les reste d'un bâtiment, soulevant une dalle en pierre sur la quel toi et Ranulf êtes emportés, direction le dôme de feu, à quelque mètres d'une brèche.

Sophia - On va s'écraser !

Qu’est ce que cela pouvait il encore bien être, j’étais bien curieux de le savoir et spontanément je posai mon sac à terre, me déchaussai et enlevai le haut, cela me rappelait bien des petites soirées entre amis où je finissais ainsi voir si ce n’était plus dénudé et dans un état mentale proche de l’abandon.
Je tirai une dernière foi sur ma pipe puis la mis tel un enfant sur mon pantalon.
Debout sur le bord du bassin je croisai mais bras au dessus de ma tête pliai les genoux et plongeai vers le fond.

Jotun/Ranulf

La brèche n'est qu'à une dizaine de mètres, deux torrents de laves jaillisse des rues adjacentes.

Sophia - je vais t'aider... maintient moi bien !

Elle lève les bras vers le ciel, un vent violent se lève brusquement tourbillonnant tout autour de vous, Ranulf se retrouve aspiré et s'accroche tant bien que mal à la queue du tieffelin.
Les yeux fermé elle marmonne à une vitesse impressionnante d'étranges paroles intangibles. Soudainement, les yeux grand ouvert elle hurle comme une possédé.
La direction du vent change d'un coup et vous voila projeté vers la brèche, quelque seconde avant que la lave submerge la dalle.
Suspendu dans les airs jusqu'à se que la pesanteur reprenne ses droits et que vous vous écrasiez tout les trois contre une dune.

Derrière vous le dôme décime les derniers restes de la cité, le liquide visqueux s'étend avant de s'évaporer dans une explosion de lumière rouge.

[Desert]

Aédan

Tu plonges dans les profondeurs de se bassin d'eau glacée. Après quelque mètres tu distingues une forme bleutée, un tourbillon étrange crachant des flopées d'étincelles, telle un portail à moitié ouvert.

A la vue de l’inconnu, je ne pus m’empêcher de tenter de respirer de l’eau rentra dans mes poumons, je revins aussitôt à la surface et je recrachai l’eau que j’avais avalée.
Je sortis de l’eau et respirai lentement, pour me calmer, je tenais à peine sur mes jambes, je m’assis la tête entre mes jambes, mon corps tremblait, j’étais terrifié.

Après dix bonnes minutes de silence je me relevai et me vêtis. J’étais de nouveau calme et pensif, ce qui était dans l’eau ne m’étais pas inconnu j’avais déjà vu ça, et soudain je me souvins de l’arrivé en ville très étrange. Je ne voulais pas passer par ce…truc ou est ce que ça me mènerais cette fois si ? Je remis mon sac sur mon dos ainsi que mon arc.

J’avais remarqué le trou par lequel sortait l’eau peut être était ce là la seule sortie, je commençai à examiner le mur avec mes yeux de novice en tant que grimpeur. L’idée d’escalader m’effrayait aussi mais bien moins que celle de passe par le turc…En plus cette peur ne faisait que me donner envie de le faire. Je m’approchai de la paroi et commençai l’ascension en parallèle à la chute d’eau.

Au début elle ne me parut pas trop difficile mais plus je montais plus les pierres me paraissaient glissante plusieurs fois je faillis tomber mais la force était en moi même si je tombais, je remonterais, je ne voulais surtout pas passer par l’eau.

J’atteindrai bientôt le sommet, je grimpais de plus en vite j’étais assez pressais de quitter ce lieu assez intrigant il faut le dire. J’atteignis enfin mon but. Je fis passer une de mes mains de l’autre coté à la recherche d’une prise qui me permettrait de faire basculer mon corps dans le trou. Je cherchai, cherchai désespérément je commençai à stresser mes jambes tremblait de nouveau, je cherchai avec le plus d’ardeur possible, puis enfin elle était là ma prise je l’empoignai d’une main ferme et sur, je vérifiais si elle pouvait tenir à l’expérience puis une fois sur, je me lançais. Je tirais tout le poids de mon corps avec ma main et avec l’autre tentais de me réceptionner, mais rien ; rien n’apparut sous celle ci et la prise qui était soit disant sûr céda ou se détacha. Et mon corps tomba dans le bassin là où je ne voulais pas et coula vers le truc, toujours avec la prise traîtresse en main je coulais.

Coulant lamentablement vers le fond telle une vieille pierre pleine de mousse, l'étrange portail s'ouvre brusquement aspirant l'eau du bassin et toi par la même occassion, encore un petit mètres et tu traverses, mais le veux tu vraiment ?!

(Est ce votre dernier mot?)

Inconscient de mon acte et aussi de mon être, mes vétements et mon équipement me firent parcourir le dernier mêtre restant.
Et me voila coulant vers le fond avec l'infame en main.

Toute l'eau du bassin ainsi que ta petite personne disparait dans le portail qui se referme brusquement.

Mais ? où va-t-il réapparaitre !