Porte de la citée

La cadavre se consume alors que tu l'as à peine approcher du dôme, chair et os est liquéfie en un horrible liquide rougeoyant, liquide qui s'évapore et ne laissant que quelque cendre.

Encore une chute.
Je commençais à ressentir une colère enfouis au fond de l’être que je suis prendre le dessus de moi. J’étais fasse contre terre, mais tellement la colère voir même la rage m’avait envahi je me mis vite debout et ne ignora l’innocente petite qui était à mes coté dans je ne sais quel état qui d’ailleurs m’importait peu, qu’elle crève.
Je bougeais dans tout les sens donnais des coups de point dans le vent, frappais l’invisible avec mon pied. Puis au bout d’un moment la fatigue prit le dessus sur ma rage et m’effondra sur le sol. J’en avais marre j’étais loin de chez moi, les gens que j’aimais me manquaient tellement, j’étais complètement perdu dans un lieu qui m’étais inconnu.
Les larmes commencèrent à me couler sur les joues.
Etait ce la fin ?
Non je n’avais pas encore dit mon dernier mot je séchai mes larmes pris une profonde inspiration et me dirigea vers la douce Emilie pour voir son etat.

Le tieffelin laissa le reste du corps du démon tomber à terre. Ce n'était pas comme cela qu'il pourrait parvenir à détruire le dôme. La magie était sûrement trop puissante pour lui. Il se retourna et observa Sophia. Et si le fait de détruire Mantuok était la clef. Mais comme l'avais prouvé ses projectiles magiques, la créatures n'avait pas été blessé par sa magie.
Il commença par incanter, canalisant l'énergie, la modelant afin d'en faire un sort d'armure de mage, qu'il appliqua sur lui. Une fois fait il approcha sa main du dome sans la tucher simplement pour voir si le champs de force déviait une partie du dôme.

[sort : Armure de mage]

Tu t'approches du mur du dôme, la chaleur est insupportable, le métal magique qui compose l'armure de mage éclate en une flopée d'étincelles bleutées sous l'effet de cette fournaise.

Le tieffelin se recula précipitemment. La magie utilisé le surpassais et il en était convaincu. Si l'elfe lui avait donner un coup de main, ils auraient peut pu briser le dôme. Que devait-il faire, user tout ses sorts pour rien. Retourner voir les autre et les aider. Cela aurait le plus sage à faire mais voila que Sophia n'était pas vraiment en bonne santé.
*Par les abysses !¤ Jura-t-il mentalement.
Que pouvait-il faire maintenant ? Il essaya autre chose. Il s'approcha de Sophia, la prit dans ses main, se retourna pour s'approcher du dôme. Il avait sentit en Avalant l'Abishaï que quelque chose s'était produit en lui.
- "Si tu m'entend Sophia retiens ta respiration !"
Il s'avança encore approcha ses doigts lentement du dôme. Il se concentra et fit appel à cette étrange sensation. Il ferma les yeux et se concentra. Il s'avait qu'il pouvait modeler le feu pour le changer, le transformer. Espérant parvenir à créer un passage vers l'extérieur au moons un cours instant.
[pouvoir spécial pyrotechnie->fumé sur le dôme]

Un épais nuage de fumé jailli du dôme, l'air devient irrespirable, tu en viens à te demander si tu ne viens pas de faire une énorme erreur. La fumée recouvre la rue en un épais brouillard noir.

L’épais brouillard t’empêche de respirer, tes yeux sont larmoyants et irrités. T’approchant du dôme, la chaleur est presque supportable.

La voix de Sophia retentit, ainsi qu’un hurlement macabre.

Sophia – Recule démon !

Sophia - Il est la...

Un vent violent écarte le nuage de fumé, au centre l'immonde créature approche, elle semble avoir *changé*. Beaucoup plus volumineuse, des épines couleur ivoires parcourent l'ensemble de son corps, serpentant le long de ses bras et de son dos.

Mantuok -Dévorer...

Dans l’obscurité tu parviens à trouver le petit corps inerte d’Emilie, son sang encore chaud macule tes doigts, c’est trop tard.

Sous mes mains je commençais à sentir une flaque de sang chaud qui se faufilait dans les imperfections du sols. Je ne voulais pas croire que c’étais celui d’Emilie, je pris son corps dans mes bras mis sa tête contre mon épaule et ma bouche à son oreille.
-Dis…Dis moi que tu vas bien
Ma voix était tremblante, je n’avais plus de larmes à verser mais la douleur était là. Je me sentais mal, j’avais envie de vomir, le chagrin prenait possession de mon corps. Je serais encore une foie dans mon corps le corps doux et frêle d’Emilie
-Dis moi que tu vis encore !!
J’hurlais la mort. Je demandais à celle ci « Pourquoi ? Pourquoi elle ? Pourquoi comme ça ? »
J’étendis son corps sur le sol, lui embrassa le front, ferma ses yeux qui observaient l’inconnu, ils me faisaient froid dans le dos ses yeux pleuraient des larmes de sang, je mis ses bras le long de son corps et me dirigea vers le mur pour m’y adosser et repenser à ce qui s’était passé.
Là assis contre le mur la tête dans les mains je voyais à peine le corps inerte de la douce enfant je le devinais.
Dans ma tête je l’imaginais étant petite, je savais pourtant que je ne l’avais jamais connu mais je me demandais s’il avait été joyeuse étant petite, si ses parents s’occupaient bien d’elle. Je me surpris à espérer qu’ils soient mort pour éviter de leur infliger un profond chagrin.
Inconsciemment je fis tourner mon sac et en sortis une longue pipe, elle était chargé d’une herbe sèche que je connaissais bien.
Je mis celle ci à ma bouche et sortis une sorte de rune faiseuse d’étincelle de mon sac la mis dans le creux de la paume et la frottai avec mon pouce répétai cette action plusieurs foie jusqu’à ce qu’une étincelle atteigne le nid d’herbes sèches et embrase le tout.
Une vague de chaleur s’engouffra dans ma bouche pour ensuite remplir mes poumons. Je sentais ma conscience se soulager peu à peu, je sentais les premiers effets que je ne pouvais empêcher, un sourire se plaqua sur mon visage, pour ensuite laisser place à un petit rire que je ne cessai pas de retenir, ça me faisait mal à la mâchoire mais je ne pouvais m’en empêcher je n’avais pas envie de rire.
Cette situation me paraissait pathétique, la fatigue commença à avoir une forte emprise sur mon corps, je me glissai doucement contre le sol, mon sac sous ma tête et une dernière pensée se dirigea vers la petite Emilie et se que j’avais vécu.
« Monde de merde ! »

Seul ta respiration trouble le lourd silence qui s’est abattu autour de toi, perdu au fond de se trou, avec le cadavre d’une fillette pour unique compagnie.
Un léger vent t’apporte un semblant de chaleur, portant en lui d’étranges murmures, peut être un appel venu d’outre-tombe.
Alors qu’une créature décharnée, vêtue d’un épais manteau noir emporte l’âme de la petite fille, celle-ci te gratifie de son souris d'ange.
Le souffle se fait plus intense, et l’image d’Emilie disparaît comme une statue de sable dispersé au quatre vent.
Ouvrant brusquement les yeux, sursautant, tu émerges, la réalité s’écroule sur toi.

J’étais dans un état serein plus rien ne me troublait j’étais conscient de tout. Le corps d’Emilie était là présent, quand je sortirait de cet enfer il faudra que je construise un monument pour montrer qu’elle a existé peut être quelqu’un de sa famille tomberait dessus.
Au dessus de moi se trouver la seul sorti qui me semblait possible.
Avant d’entreprendre de monter les gravas je décidai de mettre les bras en forme de crois sur le corps d’Emilie, une foi la chose faite je commençais à monter.
Mon rêve étrange me revenait en tête avais je vu la personnes que l’on nommait la mort Emilie ne m’avait pas semblé effrayée face elle.
Je voulais sortir du trou pour reprendre mon chemin initial.

La roche est friable et humide, tu glisses lamentablement.

Je n’avais pas prévu ça, je mettais retrouvé les genoux au niveau de la tête en face de moi se trouver un corps inerte, je ne voulais pas placer de nom dessus.
Une foi debout, je me mis à faire le tour du trou les mains sur le mur et les pieds qui tâtaient le sol en quête d’un détail louche, étant donné le peu de luminosité qui m’empêchait de bien me servir de mes yeux je fermai les paupière et me concentrai sur mon sens du touché

Tu ne remarques rien d'inhabituel, mis a par que le bas du mur nord et composé de terre très humide.

Une foi le tour finit je me retournais vers un mur qui m'avait parru louche au premier contact de la terre humide. Je dégageais le mur j'enlevais les mousses les moisissures et regardé s'il n'y avait pas un champignon que je connaissais bien que je puisse utiliser dans ma médecine.

Tu ne déniches aucune présence végétal, par contre, la terre est extremement friable et tu creuse un passage suffisant large vers une grotte.

Le trou devenait suffisamment large pour que je puisse m’y engouffrer en étant accroupi, je n’aimais pas faire cette tache ingrate surtout que je ne savais pas ou cela me mènerait.

L'air est beaucoup plus vrais, quelque champignon fluorescence suspendu au plafond de la grotte illumine faiblement la caverne de leur lueur bleu pâle.

Circulaire, d'un diamètre d'une dizaine de mètres, au centre ce trouve une flaque d'eau particulièrement clair.

[Est Aeland]

** La joyeuse troupe arriva gaiement jusqu'à la place de la grande porte blanche de 15 mètres avec a la base une relève des gardes toutes les heures... :p

le dôme de feu se fend d'une multitude de brèche, tu as la possibilité de quitter la ville.

*"Attention, la grille se ferme ... La clef, vite, prends la clef !!!"*

Incinius, le Flagelleur nain de fort boyard, courut en direction du portail de feu, et s'y jetta corps et âme, suivit de ses deux acolytes.

Mais où vont-ils atterir ?