auberge

Milthon déboulla à l'étage sur ces entrefaits. Il était essouflé d'avoir tant couru. Rapidement, il jeta un regard tout autour de lui. Manquant de glisser sur une plaque de neige, il reposa déicatement le lézard qui l'accompagnait sur le sol recouvert de flocons.

Il prit un peu de neige dans ses mains et la renifla d'un air extrèmement troublé. Puis il se tourna vers l'autre occupant de l'étage :
"Houlla, mon pauvre ami, vous avez dû prendre froid, votre teint est d'une blancheur à faire palir d'envie la neige.
J'espère que votre maladie n'est pas trop contagieuse né hé hé. *rires gênés* remarquez, les maladies graves ne se transmettent ue par contact sanguin, généralement

Je ne suis à Maudith que depuis quelques heures, je ne savais qu'il y avait de si subit changements de température par ici. Décidément, cet endroit est très étrange et j'ai bien envie de l'étudier de fond en comble.
Mais j'oubliais, monsieur, je vous conseille de ne pas aller au rez-de-chaussé pour l'instant. Et de vous tenir sur vos gardes, même ici à l'étage parce que le bar a été investi par une bande de barbares en mal de violence et d'affrontement. On déplore déjà un mort *Milthon se retourne et montre à Ladislas la longue trace de sang qui barre sa cape*.

Maudith me semble un endroit très attirant, mais ma première observation est qu'en l'absence de source de culture, les gens ont tendance à agir selon leur instinct.
Ce sera le première alinéa de l'introduction de mon rapport sur l'inutilité du savoir."

Milthon regarde calmement Valim approcher du portail d'où s'échappe un vent glaçant. S'apercevant qu'il est seul (ou juste accompagné de Valarius), le génasi rassemble son courage et interpelle le nouveau venu :
"Que ce passe-t-il au bar ?
Je sais que vous êtes impliqué dans la bataille, mais je ne sais pas pourquoi on se bat ni qui vous êtes... *il regarde le portail et fronce les sourcils* ... ni d'où vous venez.
Je vous conseille d'éclaircir la situation. Un homme est mort, je veux au moins savoir ce qui justifie toute cette violence.
Vous ne franchirez pas le portail tant que je n'aurai pas de réponse."

Tout en parlant, Milthon sert la neige qu'il avait dans les mains pour faire une boule compacte.
Cependant, il ne se montre pas menaçant outre mesure, étant donné que pour l'instant Valim ne semble vouloir aucun mal à personne.
Il ne se met pas non plus au travers de la route de Valim, mais se tient prêt à le retenir si l'homme s'approche trop du portail. Il jette aussi un regard implorateur vers Ladislas, faisant ainsi signe à l'inconnu d'intervenir lui aussi pour intimider Valim.

Valarius suivait valim puis dit a milthon d’un ton dur

-si vous ne nous laisser pas passer ces notre mort que vous signez voulez vous avoir notre sang sur les main. De plus les garde de maudith son en bas l’un d’entre eu est mort alors si il vous voit avec nous il vous tuerons vous aussi.

valarius regarda le portail un vent froid et fort apaisent en sortait il était habituer au neige du nord c’était d’ailleurs sa magie la plus forte le froid. Son épée brillait encore de mille feu argenté et il avait une dague cranté avec du sang dans sa main gauche. Il avança vers le portail, il était maintenant a deux pas d’entré a l’intérieur. puis il regarda valim.

Milthon a l'air légèrement stupéfait par les paroles de l'elfe. Il fait quelques pas de côté, mais continue à regarder Valim et son compagnon.

"Doucement, Valarius, ne jouez pas les héros ni les têtes brûlées.
Il y a des témoins dans cette auberge, -beaucoup même-. Les gardes ne vous toucherons pas si vous n'avez rien fait... quand à vous tuer, je crois que vous y allez un peu fort, mon ami.
Si vous avez quelques chose à vous reprocher, alors je suis désolé, mais il n'est pas question que je vous laisse emprunter ce passage.
Cependant, je ne veux pas vous empêcher de partir où bon vous semble si vos intentions sont louables.
Valim, je vous somme donc de nous donner des explications. Je ne suis pas un justicier, je vous laisserai passer ensuite. Mais un homme est mort -ou plus, si ce que vous me dites est exact-, et c'est son sang que j'aurai sur les mains si je vous laisse vous enfuir en sifflotant et en vous tenant la porte de sortie."

Sa voix tremble, il ne semble pas que Milthon soit vraiment prêt à agir si les deux compères veulent franchir le passage.
Pour se rassurer, le génasi lance des regards fréquents au gros lézard lové contre son pied et à l'inconnu blême.

L’elfe regarda drôlement milthon puis il le prie par les épaule et le tassa de quelque pas ensuite il regarda valim et dit d’un ton plutôt moqueur

-alors vous venez ou vous tenez a finire en prison et a vous faire violer par tout les criminel de maudith.

Il lâcha un petit rire puis traversa le portail magique

-On a pas le temps de parler. Ils arrêteront tous ceux qui ont participé à la rixe. Une fois en prison il n'est pas sur que beaucoup revoit le jour malgrès leur innocence.Si vous passez le portail je vous expliquerais ce qui viens de ce passer . Sinon adieu en espérant que les gardes sachent faire la différence entre ce qui c'est réellement passé et les élucubrations de quelques ivrognes.
Sur ces parôles il franchie le portail qui était encore ouvert.
[hrp ceux qui passent ont rendez vous au lieu du portail.]

Mithon recule franchement pour laisser passer les deux personnages.

"Etrangement, je m'attendais à ce défaitisme, Valim. Vous pensez que les gardes vont rafler tout le monde dans le bar, et bien allez-vous en !
Mais laissez moi douter du fait qu'ils s'en prennent à un vieil homme désarmé et calme comme moi.
Dois-je ajouter que si on me le demande, j'indiquerai aux autorité par quel moyen vous avez fuit ?"

D'ailleurs, une fois que les deux ont franchi le portail, Milthon retourne constater ce qui se passe dans le bar (à moins qu'il ne soit arrêter en chemin par un garde...).

Cela pourrait s'avérer intéressant et oui, Ladislas désirait la puissance et le pouvoir plus que tout et d'après ce qu'il avait comprit, cela pourrait lui rapporter gros alors il n'attendit pas plus longtemps et fonça dans le Vortex.

[HRP : voici la gueule de Valim ]

Un des gardes remontent à l'étage de l'auberge.
-Ici les gars il y a des fuyards ils veulent passer par un portail Vite.
En attendant que la véritée soit faîtes nous devons vous enfermer. Restez tranquille jusqu'à l'arrivée des aitres gardes.
Dit il en voyant les deux comparses.

Méandrien fronce les sourcils :

"Excusez moi, monsieur le garde, mais c'est bien à moi que vous parlez ?
Parce que ... nié hé hé... il se trouve que je n'ai strictement rien fait. Au contraire, je suis témoin, vous pourrez m'interroger si vous voulez. Vous me trouverez au bar, je vous promet de m'y tenir tranquille jusqu'à ce que des renforts arrivent."

Et, à moins que les gardes ne soient vraiment très menaçant, Milthon rejoint la salle du bar pour constater un peu l'étendue des dégâts.

Le portail se referma.
-Tu vas nous suivre à la caserne bige et dire ce que tu sais sur cette affaire nous ne pouvons pas laisser le risque de te laisser ici. Déjà deux des notres sont morts.
Il te retient par le bras.