auberge

"Simple, tu te diriges vers le centre de Maudith, au pire tu demandes ton chemin. Mais un conseil, on ne dis pas "je suis assassin a tous va, il y a des signes, des moyens de reconnaissance plus subtile"

Bamon semblait assez calme il aimerait que cette individu ce dépèche à partir vers sa mission.

Sense acquis ce qu'il lui dit et s'en alla..


[L'auberge : La Porte du Traître]

Bamon ce leva et se dirigea instinctivement vers la porte, il se posta alors de l'autre coté, à coté, attendant.

*J'espère que je ne me suis pas trompé*

L’air de rien il s’adossa au mur de l’auberge.

Les deux jeunes sortent juste après toi et la jeune fille s'avance vers toi, le sourire aux lèvres.

Jeune fille- Tu as quelque chose à nous demandé?

Son compagnon retourne le sable du pied, un peu inquiet.

Bamon rend son sourire à la jeune fille.

*charmante...bizarre*

"Donnez moi la clef, la jeter ne les rendraient que plus en colère"

Il prononça cette phrase avec désintérêt, voir nonchalante, comme il aurait pu dire n'importe quoi d'autre.

Apparement, ton charme et ton désinterêt font de l'effet à cette adolescente et elle dépose timidement la clé, ou plutôt, le petit crâne de rat, au creux de ta main... Mais tu sens qu'à la dernière seconde, elle hésite fortement, probablement se doute-elle que tu les as épiés... Mais soit, elle se dit que tu causeras sans doutes des ennuis aux "autres" et cela semble l'amuser, son compère par contre ne rigole pas...

Jeune fille- Amuse-toi bien... et aussi, pour activer la clé, tu dois déposer de la terre dessus, pas du sable! De la terre... creuse un peu ou cherche un pot de fleur!

IElle te sourit puis tout deux s'en vont en courant, ils dispairaissent au coin d'une rue...

Bamon trouva celle presque trop facile, il y avait anguille sous roche, il espérait ce tromper. Il ce mis en route vers le portail des Carcères rejoindre l'assassin, il lui serait sans doute utile dans ce semi-plan de poche. Pour ce faire il traversa toute la ville, ce n'était pas très compliquer, il suffisait d'aller toujours tout droit, après un moment il arriva.

[Portail des Carcères]

[Portail]

Fantuil entra et ressentit immédiatement l'atmosphère suffocante propre à ce type de lieu. Dans son village, il y avait bien une taverne aussi mais... Là, l'air était vraiment très lourd. Fanduil n'aurait su dire ce qui le rendait comme ça. En tout cas, ça ne respirait pas que la bière et la joie de vivre des soûls.
Il n'avait jamais vraiment accroché la bière de toute façon, pourquoi trouverait-il ce genre d'endroit charmant ? Cette impression de lourdeur était sûrement née de son imagination.

De par son maigre enseignement, il savait qu'il valait mieux avoir des informations sur toute chose avant de s'en occuper, ou, en l'occurence, d'y entrer. Il commença donc à regarder un peu partout, pour se faire une idée des lieux.

*Rien d'intéressant en somme... Cet endroit a l'air plus perdu qu'un bige dans le désert !* Au moment même où il se disait cela, Fanduil se rappela le portail. *Au fond, peut-être que c'est moi le bige, et que Maudith est le désert où je suis perdu... Bah. Qu'il en soit ainsi.*

Il se dirigea vers le bar. Tout ça lui avait donné soif. Il espérait qu'au moins ils servaient quelque chose de buvable ici !

[Bar]

Narric pénétra silencieusement dans l'auberge, sa maigre silhouette se détachant subitement du noir de la nuit pour disparaître derechef dans les épaisses volutes bleutées de la fumée du tabac dont semblait faire grande consommation la clientèle ,disparate a ses heures reculé, qui se retournaient présentement pour jauger le nouvel arrivant. Le jeune homme, sentant peser sur lui tant de lourd regard calculateur, ne put s'empêcher de se composer ce qu'il lui semblait un air fier et pénétrant ,qu'on prêtait habituellement a ceux qui possédaient quelque lourd secret ou certaine maîtrise dans quelque art sybillin et puissant.

l'effet fut cependant quelque peux gâcher par la violente prise de toux qui le pris (car la fumée du tabac, plus lourd en ces contrées que celui qui ce fumait a Sigil, lui irritait violemment la gorge).Se maîtrisant rapidement, il eu tout loisir d'examiner plus avant l'étonnant établissement. Avisant le carrelage d'un vert sombre, les solides tables recouvert d'une couche par endroit impressionnante de taches diverses et graisseuses, l'étrange requin empaillé qui pendait a une des arcades et qui semblait nager (quoi que fort rigidement, il faut l'avouer) dans un océan éthéré de fumée et, enfin, avisant l'air scélérat et patibulaire qu'affichaient les trognes avinée des clients qui n'avaient pas dissimuler leur visage sous les épaisses et sombres capuches qui semblaient d'usage dans toutes les tavernes existantes; Narric compris qu'il était tombé dans un bouge.

Se dirigeant d'un pas qu'il espérait fier et digne vers une table inoccupées, narric posa son postérieur sur le rugueux et solide tabouret avec une distinctions qui a ses yeux rattrapa amplement son entrée quelque peut bancale. ainsi installé, il fit signe a une des servantes et lui demanda d'un ton chaleureux quoique quelque peux peromptoir de lui servir une légère collation (car il n'avait pas vraiment faim mais souhaiter quand même coller le plus vîtes possible a son nouveau rythme) accompagner par un cruchon de vin (car il souhaitait pouvoir trouver rapidement le sommeil, pour les raisons sus-cité) et de lui préparer une chambre qu'il choisit parmi les plus humbles, parce que ca bourse n'était pas a extension non plus.

Laissant la servantes repartir a ses loisirs ancillaires, Narric se mit en devoir, en homme organisé et consciencieux, de faire le point sur sa situation et d'évoquer les moyens envisageables de remplir une bourse partie pour se vider lestement au vu des tarifs pratiqué.

*me voila donc désargentez, ou presque, dans une ville ou je ne possède aucun appui, aucun contact et situé dans une région dont j'ignore les lois et les dangers. il me semble donc que mon objectif initial est pour le moins hors de portée dans l'immédiat. la situation pourrais sembler sombre a des esprit plus tristes et moins décidé que le miens mais j'ai cependant a mon actif une certaine débrouillardise en médecine qui pourrait me procurer dans l'immédiat a la fois un salaire et une certaines considération, et aussi quelque plus sombres atouts dont je n'aimerais cependant point user si je n'y suis pas contraint.

Plusieurs possibilité s'ouvre pour celui qui ce fait appeler médecin : il me faut dabord considérer qu'une garde efficace a souvent besoins d'une assistance médicale fourni , il faut aussi évoquer le fait que dans une citée aussi réputé pour la droiture de ses habitants, ce serait le diable si je ne trouvait quelque famille fortuné qui n'ait besoin de se prévenir, par exemple, d'un empoisonnement subite, et au service de laquelle je pourrait me placer. Il me faut encore songer aux divers mercenaires et aventuriers de passage, ou bien aux caravanes de marchands (quoique cette dernière solution m'éloignerai sans doute par trop de mon objectif)...*
ainsi pensait Narric, dans un style assez pédant il faut bien l'avouer mais tout le monde n'a pas eu le chance de ne pas recevoir d'éducation.

il profitât du temps que mettait sa commande a arriver pour détailler plus précisément les divers clients de l'auberge

[Portail]

Astarté avance, indifférente à ce qui l'entoure, jusqu'à ce qu'une enseigne attire son attention : une auberge à première vue... on pourrait peut-être répondre à ses questions là-dedans. Ou au moins lui donner à manger, quitte à faire la plonge. Bien que n'étant pas sûre de pouvoir obtenir un repas, des images de pièces de viandes, de fruits mûrs et de divers légumes et racines... Salivant à l'idée d'un repas qui pourrait combler son grand appétit, elle pousse la porte de l'auberge, après une brève hésitation...

L'odeur qui règne dans l'endroit ne la gêne pas le moins du monde, certes, il y a des senteurs plus agréables, mais ça n'a aucune comparaison avec le "parfum" que dégagent les étables du domaine de son père...

Ce qui la dérange le plus, c'est le style des meubles et de l'établissement, la différence de culture se faisait déjà sentir en extérieur mais ici, elle remarque à quel point les habitants de ce Monde manque de goût et de sens artistique...

Toujours un peu perdue, elle marche entres les tables à la recherche d'un esclave - s'ils en ont ici- qui pourrait venir s'occuper d'elle...

Narric fut un peu décontenancer par la mine renfrogné et le silence pesant de la jeune femme. Après un court silence embarrassant, il se servit un verre de vin pour reprendre contenance et pris la parole:

" bien le bonjourr etrrangerrre, quoi que bonsoirr fut plus adapté. je me prresente, je m'appelle Yarric (car il ne souhaitait pas dévoiler son vrai nom) et je suis guerrisseur. je crois deviner a votre livré que vous êtes rompue aux maniement des armes?" dit il en roulant les "r", comme il aimait a le faire.

Astarté écoute l'inconnu, qui très vite après avoir brisé le silence qu'elle s'amuse à laisser planer, annonce son nom. Son premier sentiment est que, ici, les gens ont vraiment des noms horribles et un accent infect, mais il va sans doute penser la même chose d'elle, alors elle reste cloîtrée dans ses idées négatives.

Etrangement, alors qu'elle s'est montrée plutôt fruste jusqu'ici, elle croise les jambes de manière très féminine et prends une atitude teintée d'une certaine noblesse, le regard hautain et le dos droit.

Elle fixe intensément Yarric, donnant l'impression qu'elle va lui sauter dessus pour l'étrangler à tout instant. D'un geste presque dédaigneux, elle lisse un pli de son habit avant de répondre d'une voix quasi-autoritaire.

"Peut-être... mais ma spécialité se situe avant tout dans le dressage des bêtes. Je m'appelle Astarté..."

Son regard tomba sur l'assiette posée devant son interlocuteur.

"Comment est la nourriture ici ? Je meurs de faim..."

"forrt peu goûteuse, j'en ai peurrr, mais assez roborrrative, il faut l'avouer" dit il d'un ton sec en la voyant lorgner vers son assiette. il avait un avis bien arrêter sur la charité, et si la jeune femme voulait se sustenter elle n'avait qu'a se payer a manger.

" il se pourrrait que vos talents puisse m'interrresser car je voudrrait entreprendrre un voyage dans le désert et, comme je vous pouvez le constater je ne suis pas un foudre de guerrre" dit il en accompagnant ses propos de gestes de sa fourchette (sur laquelle était planter un appetissant morceau de poulet) " et je serais ravis de pouvoir compter sur quelqu'un pour éloigner les bêtes sauvage "

il ménagea une pause pour entraîner un commentaire de la guerrière.

Astarté flaire mieux qu'une entourloupe pour voler la bourse de Yarric, beaucoup mieux. Celui-ci a qui plus est l'avantage d'aller droit au but et de ne pas palabrer pour le simple plaisir de faire du vent, une qualité indéniable. Ainsi, il a besoin qu'on le protège... Bien sûr, il n'est pas question d'accepter le moindre contrat en en sachant si peu mais la perspective actuelle est intéressante. Astarté peut peut-être même se faire payer le repas à titre d'avance...

Mais toutefois, Yarric à tendance à utiliser un vocabulaire qui lui échappe, peut-être parce qu'il articule mal les mots avec son accent ou parce qu'il est idiot. Mais ce sont des suppositions que la jeune femme établi pour éviter de devoir se répéter qu'elle n'est pas la plus futée des filles de sa famille... la plus forte, mais pas la plus intelligente.

"Mmmh... Il est possible que votre offre m'intéresse mais je veux en savoir plus, je ne connais pas la région et vous non plus, je veux savoir où je vais et ce que j'y gagne..."

Son ton est neutre, un peu froid.

Voyant que sa compagne de table etait intéressé par sa proposition, Narric se permit un fin sourire. prenant des airs de conspirateurs, il poursuivis a voie basse:

"pour tout vous dire, j'ai localiser un vieux temple abandonné que je souhaiterais "étudier", et j'ai de bonne raison de l'espérer inviolé. De plus, bien que je ne connaisse pas la région en prrratique, j'ai pu regrrrouper suffisamment de notes sur le chemin a parcourrrir pour me donner bon espoirrr de m'y retrouver. Votre contrat durera donc le temps de l'aller-retour, plus le temps de mes études, ce qui ne devrait pas me prendre plus que quelques jours."

il marqua une courte pose pour boire un peu de sa coupe de vin car l'air etait bien sec d'une part, et d'autre part parce qu'il voulait ménager un de ces petits effets rhétoriques qu'il affectionnait tant.

"pour ce qui est de votre rétribution, je pensais que nous pourrrrions partir sur une base de 50/50 sur toutes les valeurrr que nous pourrions decouvrirrr lors du périples et surrrtout dans le temple, a la notable exception d'une part de l'autel et de son équipement officiant qu'il faudra laissé intact pour le bon déroulement de mes études et d'autrrres part de tout ce qu'il pourrait etre prrrofanatoire de prendre, car je ne goutterrrais fort peu de subir quelques antiques malédictions"

il s'arrêta derechef pour prendre quelque bouchée de son repas puis repris d'une voie normal:

"ne vous inquiété pas pour autant, les bien des pretrrre et autres officiant a eu seul pourrait se révéler considérable, et il resterrrait encore bien de l'ameublement ou d'autre decorrration pour nous assurrré de la rrrentabilité du voyage.

voici donc ce que je vous prrropose. je ne vous cacherais pas que l'affaire est aventurrreuse et qu'au-tant les peines que nous aurrons a subir que les rrrecompenses que nous aurons a attendre sont difficilement estimable. nous n'aurrront peut être qu'une bucolique balade en guise de traverrrser avec moult richesses a l'arrrivé, ou alors y laisser notrrre peau pour rrrien."

achevât il en regardant astarté droit dans les yeux, car il appartenait a l'étrange sorte de gens qui croyait qu'un regard direct et qu'une solide poignée de mains indiquait indubitablement une âme sincère et honnête et il aimait donner cette impression, a défaut de l'être réellement.

Les bras en croix sur sa poitrine, fermant un bref instant les yeux, Astarté médite sur l'offre de Yarric. Rien de certain dans son expédition, pas même la récompense. Et même si la perspective de trouver un trésor de grande valeur et de pouvoir en obtenir la moitié est alléchante, ce n'est pas suffisament motivant. Et s'il n'y a rien dans le temple ? S'il est rempli de gardiens, de pièges et de malédictions ? Quoiqu'en réalité, devoir affronter quelques créatures amuserait Astarté et qu'elle se moque des malédictions et des pièges, c'est la possibilité de ne rien trouver qui la gêne... Il n'y a plus qu'à négocier pour pouvoir obtenir une compensation s'ils ne trouvent rien. Ensuite, il sera temps de parler d'une avance pour entamer le voyage...

"Votre proposition n'est pas bien sûre en ce qui concerne ce que je recevrai, je pense que si contrat il doit y avoir, je veux être sûre d'obtenir quelque chose si nous ne trouvons rien de valeur dans ce temple, je ne suis pas aussi optimiste que vous en ce qui concerne les trésors qu'il pourrait recéler..."

Narric poussa un petit soupir, les négociation allaient être ardue.

"je comprend vos doutes légitimes, même si vous devez vous doutez que si je fais ce voyage c'est que j'ai bonne espoir de le rentabiliser. mais soit, si vous y tenez, je pense qu'une garantie de 75 communs devrait combler vos attentes, quand dites vous?" proposât il d'un air pitoyable, comme si il venait de vendre sa famille.

* cette femme est visiblement une étrangère, une égarée des plans, et je viens de la cueillir au berceau. elle n'a pour l'instant sans doute aucune idée de la valeur réel d'un commun de cuivres, ne pas en profité serait un crime...*

"Humpf..."

Le grognement d'Astarté indique sa profonde réflexion, pesant le pour et le contre pour pouvoir accepter ou non la proposition de Yarric. Certes, elle n'est pas sûre de la valeur de l'argent ici, mais elle pourrait gagner beaucoup si le temple se révèle remplis de richesses et une promenade guerrière l'amuserait et la défoulerait... Soit, si elle peut obtenir la gratuité des soins de son employeur durant toute l'expédition, l'affaire est entendue....

"Va pour les 75 communs, mais je veux être soignée gratuitement si je venais à me blesser pendant l'expedition, après tout, vous êtes guérisseur..."