Auberge

Milthon se met à trembler comme une feuille. Lui si frêle n'en mène pas large devant les gardes en armure de Maudith.

"Vous vous... vous avez rai-raison... je je crois que j'avais mal com-compris. Je vais vous suivre ... bien gentiment"

Et sans faire le moindre geste violent, abandonnant même son lézard dans l'auberge, Milthon se laisse conduire par les gardes.

Il sort en t'escortant et te fait signe d'avancer jusqu'à la caserne.
[La caserne]

Après avoir savouré mon si charmant présent, je me rendit a l’auberge. Pourquoi? Pas la moindre idée. Mais es-je vraiment besoin de raison? J’y étais a présent, et c’est tout. J’observa le bâtiment, son extérieur, puis l’intérieur. Une table dans un coin, une table parfaite. Je m’y assoies calmement, sans vraiment faire attentions au dégâts qui avait pus avoir affecté l’endroit, ou aux odeurs.

Une jeune femme au teint jaunâtre s'approche de la table, visiblement fatigué par les longues heures de travail et les plaisanteries stupides des bibards du coin, son visage se fend d'un semblant de sourire.

Femme - Bonsoir, qu'est-ce que je te sers matois ?

Je la regarda attentivement. La détaillant des pieds a la tête. Elle aurait sans doute fait un jolie cadeaux, très jolie en fait. Mais il fallait en gardé pour plus tard, ne pas tout prendre tout de suite. Je m’imaginait ce que je pourrais faire d’elle, un peut plus tard. Mais pas tout de suite, plus tard sans doute…

-rien en particulier pour l’instant. Je ferais signe si je veut… quelque chose.

Elle s'incline légèrement et tourne les talons.

Femme - Bien

Un personne de petite taille, vêtue d'un long manteau noir à capuche, lui recouvrant le visage d'approche de ta table, il dégage une forme odeur de souffre et de vinaigre, d'ailleurs il irradie une étrange chaleur. Sa voix est raque et caverneuse.

??? - Je sais ce que tu à fait matois...

Je regarda l’appétissante serveuse repartire en pensant qu’il faudrait que je revienne un de ses jours. Mais l’inconnu m’interrompu. Je détestait être interrompu dans mes pensé. A ses paroles, je pensa a l’immonde cachot qui m’avait enfermer plusieurs années. Et je n’était pas pour m’y laissé reprendre. Ni me laissé reprendre, ni me laissé marcher sur les pieds! Alors que j’allais lui répondre, je l’observait. Ne quittant pas du regard son corps. Voyant jusque dans sa chaires pour sentir son sang coulé dans ses veines…

-Et qu’es ce que j,ais fait d’après toi?

[ si possible, je tente de l’observer trois round pour une attaque mortelle au cas ou]

L'étranger s'assoit à ta table, bien en face de toi, tu peux distinguer dans l'obscurité de sa capuche deux yeux rouges de reptiles. Il siffle.

??? - Moi et mes associés, somme intéressé par tes talents.

Tu disposes d'un créneau pour une attaque sournoise, au niveau de la gorge.

Je regardais l’inconnue devant moi. Disait-il la vérité? Ou n’étais ce qu’une ruse pour m’enfermer de nouveau? Je ne pouvais le savoir vraiment. Mais je me consolait, si il me semblait trop menaçant, sa gorge semblait s’ouvrire a mes griffes. Mais pour l’instant, il était préférable pour moi de l’écouter. Du moins pour le moment.

-Et puis-je savoir qui sont ses associer? Comme j’aimerais savoir également qui tu est, toi.

J’attendais alors la réponse sans trop d’impatience. Observant ce qui allait se passé, ce qu’il dirait. Je ne le quittait pas des yeux, juste au cas ou. On ne savait jamais, valais mieux être méfiant que trop confiant.

??? - Je suis un baatezu, un abishaï noir pour être plus précis, ça te convient ?

Je le regardait avec une légère pointe de questionnement dans le regard. Mais de toute façon, je m’en moquait bien.

-d’accord, et que veut tu que mes talents fasse pour toi?

Créature - Rends toi à la Maison du silence, trouve la tenancière et assassines la, qu'importe ta méthode.

-D’accord, et ou se trouve cette maison exactement?

Créature - Dans le quatrième anneau, tu n'auras aucun mal à la reconnaître, une gargouille en pierre est placé au dessus de la porte.

Il se lève, te tends une étrange clef d'os et de fer de sa main écailleuse et griffu.

Créature - Tu en auras besoin et surtout, ne te laisse pas charmer par les catins.

Je pris alors la clef d’or dans ma main et l’observa un instant avant de la ranger sur moi.

- et qu’ouvre exactement cette clef? Question de savoir s’Il elle ouvre bien ce a quoi je pense.

[hrp : d'os pas d'or hein lol]

La créature recule de quelque pas, se retourne et te lance avant de quitter l'auberge.

Créature - Tu le découvriras bien par toi même...

[ Extérieur de l'auberge]

Telis entra dans l'auberge.
Elle n'avait pas changer: c'était surement l'endroit le plus animé de Maudith... surement le seul en faite.

Son maitre Assassin toujours dans son coin, l'Aubergiste derrière le comptoir et les habituelles paysans et autres personnes de passage, louche ou pas.

Après un petit signe de tête à Nabat, il prit une table tout en regardant sans y paraitre autaour de lui.
Au bout d'un moment il se pencha vers Sati, la discrétion étant difficille au vu du nombre de regards qu'elle attirait, et lui dit à voix basse: "A ton avis, sa ressemble à quoi un Aventurier des plans. J'ai pas penssé à demander à Nestrelle de quoi il avait l'air."

Je regarda une dernière fois la clef d’os avant de la ranger et de partire pour ma mission.

Sati secoue la tête et hausse des épaules.

Sati - C'est quoi son nom déjà ?

Sati - Prend moi un whisky de Baator !

Elle sautille sur sa chaise comme une enfant capricieuse.

"Bien attend moi là" fit Telis avant de se diriger vers le comptoir.
Il jeta un coup d'oeil discret pour voir les nouvelles tête avant de prendre place.
Lorsque Barlouche approcha sa tête de l'oreille de Barlouche pour lui demander la commande de Sati, ainsi qu'une Bière brune. Au passage il demanda un peu plus bas: "Dis moi, il parait qu'un aventurier des plans se ballade dans le coin. On m'a dit que je pourrais le trouver ici. Tu ne saurait pas qui c'est?"

Barlouche - 5 pièces d'argent et quatre de cuivre.

Barlouche pose devant toi une bière brune ainsi qu'un liquide qui paraît en ébullition, mais dégage des vapeurs exquises.

Barlouche - Ouais il parait matois, elle ne passe pas inaperçu d'ailleurs, regarde à la table derrière toi.

Telis laissa jeta un coup d'oeil derrière lui, l'air de rien, pour voir de quoi il s'agissait.