Desert

* One year after *
*Le Flagelleur apparut dans le désert ... Et une nouvelle fois, il muta ! Et cette fois ci, ce fût en serpent des sables*

*Plonge vers le premier vers le sol*
*Se mets à ramper et onduler sur le sol alors que ses tentacules sondaient de ci de là le sable à la recherche de faibles mamifères pouvant lui servir de repas*

*Francis le relève sans ménagement*

"Rhummm ... Je euh ... Je voulais vérifier la textures du sables, ainsi qu'évaluer la propotion de sels minéraux ...

Bon, après cette page scientifique, passons à la page Moïse"

*Francis tourna la tête en direction du chien-loup, puis se mit à soupirer*

"Allons y!
Francis, embarque !"

*Incinius pousse le malheureux golem qui tomba au sol*
*Puis il saute dessus, comme sur une planche de surf, et pris un gouvernail invisible entre ses mains*

"Allons, levez l'ancre matelôt!
Nous partons pour Maudith !!"


**Mais atteindront-ils Maudith sans encombre ??**

Tu remarques au loin un vieil homme rabougris à dos d'âne.

*Merde, c'est numérobis, chevauchant son âne canabis !!*

"A l'assault fidèle troupe, rejoignons ce brave compagnons !"

**Au pas de course, Francis, qui était maintenant chevauché par Incinius le Hun comme un simple mulet, arriva tant bien que mal a côté du vieillard, qui ouvrit grand les yeux en voyant arriver ainsi la troupe.
puis le flagelleur pris la parole**

"Oyé oyé, vil gueux.
Que fesses-tu par là?"

Le vieillard sursauta, manquant de tomber de son âne qui parut moins troublér que lui.

Homme - Ahum...et bien rien....je ne fais que passer

Un bruit assourdissant retentit dans le dos d'Incinius, accompagné par une puissante odeur de moisie.

??? - Mais que vois-je donc !

S'approche un homme dans la force de l’âge tout vêtue de noir, le visage masqué par une cagoule

??? - Créature étrange et gélatineuse, seriez-vous importuner par cet odieux et vil paysan ?

[portail de la ville/Aeland]
Jotun se remet sur son appendice et se met à enrouler auour de l'Eladrine dans une attitude défensive. Puis il l'aide à se lever.
- "Nous devrions rejoindre l'oasssisss, peut être qu'Ariel et Gatsssu ont réussssit à rejoindre Nessstrel.
Le tieffelin garou observa la fin d'Aeland. Cette ville qui fut plus accueillante que Maudith venait de sombrer à cause d'une sombre sorcière qui souhaitait réssuciter une saleté de bestiole nommé Mantuok. combien de vie venaient de périr devant lui, sans qu'il ne réussise rien à y faire. Au moins son amie avait réussit à survivre avec lui. Une fois à l'oasis, il retrouverait ses amis et ensuite... il avait une idée, restait à voir si Sophia était partante.
- "Tu vas bien SSSophia ?." S'inquièta le tieffelin aorès ce qui venait de se passer.
- "Si tu le souhaite je peux te servir de monture... Afin de rejoindre Nestrelle et les autre."

[Portail de la ville Aeland]

Ranulf apparut aux côtés des deux autres il fit une roulade et se rétablit sur ses pattes arrières en se dressant sur celles-ci.
Que devait -il faire maintenant ? Son maître n'était plus là ? Cela voulait-il donc dire qu'il était libre ?
Cette ville ne signifiait rien pour lui, et il se fichait éperduement des victimes, mais que pouvait-il faire maintenant ?
Attaquer cette femme et cet hybride ? Mais, même si la femme semblait faible il ne pensait pas que son accompagnateur et protecteur l'était lui.
Par prudence Ranulf sortit son Nunchaku et grogna.
"GROAAAAARK"
Car même si lui décidait de ne pas attaquer peut être qu'eux allait le faire.

- "Nous allons sûrement aller dans un endroit où règne la paix, si tu désires venir avec nous, gnoll, pour lécher tes blessures, tu es le bien venu. Tant que tu restes pacifique !"
Le tieffelin observa d'un mlauvais oeil la hyène humanoïde tout en restant enroulé autour de l'eladrine pour la protéger. Puis il porta son attention sur son amie.
- "Nous y allons ?"
Le tieffelin n'osait pas trop bousculer son amie peut être avait-elle des connaissances qui venaient de périr devant eux, à Aeland..

Le tieffelin fit monter l'éladrine sur son dos puis après un dernier adieu aux victimes d'Aeland et à la ville, le tieffelin se mit en reptation en direction de l'oasis afin de retrouver ses amis Ariel et Gatsu. Là-bas ils aviseraient de la situation et ce qui serait à faire.
[Oasis]

Ranulf suivit ses nouveaux compagnons un peu à contre coeur, trop de bonté d'âme émanait d'eux, à la mondre occasion il les lâcherait, ça il en était certain.

[Oasis]

Les trois compagnons se mettent en route vers la formation rocheuse que l'on aperçoit au loin depuis l'oasis de Nestrelle.
Lorsque Jotun tourne son regard vers le sud-ouest, il ne voit plus la forme colossale qui y évoluait tout à l'heure. Pourtant une chose aussi énorme ne peut se volatiliser aussi rapidement.

Soudain, sans que rien ne le laisse présager, la créature apparait à quelques dizaines de mètres du groupe. 'Apparait', il n'y a pas d'autre mot. Bien qu'elle soit d'une taille impressionante (une vingtaine de mètre de haut au bas mot), la créature a surgi soudainement, comme si elle avait été téléportée là. Il s'agit d'une sorte d'immense masse verte, recouverte de pustules et d'excroissances hypertrophiées. Elle repose sur deux jambes trapue, d'un diamètre impresionnant. On ne voit aucune tête à la chose, mais elle semble disposer d'épaules et de bras, bien qu'ils soient courts et maigres.
Sans que l'on sache d'où elle vient, la voix de la créature, criarde et étonnament faible rugit :
"Allez, pas de résistance, suivez moi !!"
Les trois compères sont alors à mi-chemin entre l'oasis et les scories.

La grosse masse se tasse sur elle même et charge le petit groupe. Elle se déplace sans le moindre bruit au-dessus du sable, et sans faire trembler le sol malgré sa carrure imposante, comme si elle lévitait au-dessus du sol.
Jotun et Ranulf aperçoivent derrière elle qu'elle a déjà deux prisonniers : deux hommes torse nu, le visage recouvert d'une cagoule et les bras liés par des chaînes. Leur peau est brulée par le soleil, et ils sont en sueur. Ils suivent la grosse masse en courant eux aussi, mais leur cagoule les empêche de voir, et ils trébuchent à chaque pas.

Ranulf ne sait pas ce que c'est que cette chose mais il a pas envie de la suivre et y déteste qu'on lui donne des ordres, c'est pas cette chose qui va l'empêcher de redevenir vampire, il doit protéger les deux crétins qui l'accompagnent et c'est exactement ce qu'il va faire. Il sort son nunchaku fait deux trois moulinets avec et attend que la créature arrive.
"Personne me dit où je dois aller, viens amènes toi !"

La chose arrive à la hauteur du groupe. Son ombre vaste comme une maison recouvre les trois compagnons.

"Je ne veux pas me battre. Je ne veux pas discuter. Suivez moi, c'est tout."
Cette voix toute menue est assez ridicule pour une telle masse. On dirait qu'elle a du mal à sortir du corps gigentesque.

Ranulf commence à en avoir marre de cette bête idiote, il préfère la prendre par surprise, il range son nunchaku et dit.
"J'aime pas causer à quelqu'un dont je vois pas le visage, si tu veux qu'on te suive t'as qu'a descendre ici bas qu'on voit un peu ta gueule, et pis d'abord c'est qui les gens que tu traines derrière toi ?"

Aux paroles de Ranulf, la masse se met à bouilloner, et un visage se dessine vaguement sur son torse mouvant.
La tête ressemble à un gobelin, avec ses longues oreilles, ses dents ébréchées et son nez pointu. Elle est constitué de la matière pustulleuse du torse. Ses yeux papillonent, roulent dans leurs orbites puis fixent le gnoll. Lentement, le colosse se baisse pour ammener son visage au niveau de Ranulf. Sa voix est toujours atténuée, mais le gnoll peut profiter à loisir de son haleine puante.
"Tout d'abord, je suis invincible. La résistance est vaine. Suivez moi juste. Ensuite, ces hommes sont mes prisonniers. Je les conduit là où je vous emmène."

Sophia est restée bouche bée jusqu'à maintenant. Elle reprend ses esprits et observe que ses deux amis ont l'air de vouloir se battre. Alors elle va tranquillement se placer derrière Jotun, et lui agrippe les épaules.
"Cette chose pulse la puissance magique. Jotun, je ne sais pas à quoi tu t'opposes."

Le nunchaku de Ranulf percute le visage... puis lui passe au travers et ressort comme si de rien n'était. La chose ne bronche pas.
"Je suis invincible. Je te pardonne."

Sophia se cramponne au cou de Jotun. "Ne dis pas n'importe quoi, Jotun. Garde les idées claires. Ma parole, tu es en train de prier ? Prend une décision, vas-tu combattre cette chose ? (elle enfonce ses ongles dans la nuque du tieffelin) Et ne demande plus jamais de te laisser seul dans le danger. Je mourrais plutôt que de t'abandonner à la mort, à la peine ou à la servitude."

La grande chose continue de parler calmement à Ranulf, malgré le coup que celui-ci lui a porté.
"Ce n'est pas de l'esclavage. C'est un pèlerinage. Suivez moi ou je vous ensevelirai ici. Et un dieu n'a jamais à assumer les conséquences de ses actes. C'est au monde de s'adapter."

La chose à l'air de frémir à la dernière question de Jotun.
Mais sa voix est toujours neutre (et faible) quand elle prend la parole pour répondre :
"Nous allons dans un endroit où vous aurez vos réponses. Je ne serai pas plus clair. Suivez moi maintenant. Je ne vous lierai pas les mains. Vous aurez juste les yeux bandés."
Puis son large visage de gobelin rentre à nouveau dans la chair de son torse et il se redresse dans le ciel bleu du désert.

Les mains de Sophia tremblent, Jotun les sent dans son dos. La magicienne à l'air très impressionnée par la chose. Il n'est pas sûr qu'elle sera dans les meilleurs disposition pour la combattre...

Ranulf n'en croit pas ses yeux son arme a traversé la créature, il regarde Jotun désemparé.
"Qu' est ce qu'on fout maintenant ?"