Caserne

[/auberge la porte de traître]
Avant d'être emmené de force à la caserne, Milthon jette un coup d'oeil par-dessus l'épaule des gardes pour voir si le barbares et la femme qui l'accompagnait sont toujours dans l'auberge. Il regarde aussi si il y a beaucoup de casse et des morts...


Il se laisse ensuite conduir docilement à la caserne.
Là, il se met tranquillement là où on lui dit de se mettre et se réfugie dans le mutisme. Un mutisme qui ne dissimule pas sa nervosité, puisqu'il ne cesse de lancer des regards dans toutes les directions.

(espérons que les gardes ne vont pas procéder à une fouille sur Milthon, il y en aurait pour la nuit... )

Le garde te fait t'assoir en face de lui.
-Maintenant racontes tout ce que tu sais des hommes sont en prison pour cet incident et ils risque la mort donc pèses bien tes parôles.
Lui dit le garde.

Milthon acquiesce lorsque le garde lui indique que sa déclaration risque d'être lourde de conséquence.

"Tout d'abord, je voudrais bien insister sur le fait que je n'ai rien bu de la soirée. Je suis parfaitement lucide. D'autre part, je suis un étranger, et je ne connais personne en ville, donc il n'y a pas de raison que je prenne parti pour un camp ou pour un autre.
Je parle de deux camps opposés parce que c'est bien de cela dont il s'agit : les gardes sont peut-être arrivé un peu tard pour s'en apercevoir, mais le barbare et la jeune femme qui ont sacagé l'auberge n'en voulaient qu'à un seul individu, un certain Valim, qui a été le premier a déclancher la violence : il a attaqué la jeune femme avec un sort. Une petite boule de feu. Un autre étranger de Maudith s'ai joint à lui : c'était un elfe nommé Varilus ou quelques chose de ce genre.
Moi-même, je savais que les choses risquaient de tourner au vinaigre, et j'ai préférer m'enfuir. D'ailleurs, au passage, j'ai tenté de convaincre les clients du bar de me suivre.
Bref, il se trouve que la situation a du dégénérer... le dit Valim a réussi à s'éclipser et à emprunter le portail que vous avez vu, qui menait sans doute vers un lieu lointain. Du moins, vers un lieu très froid. Valim s'est enfui avec un elfe et un autre homme -Milthon décrit sommairement Ladislas-.
Je crois que c'est tout.
Vous pouvez vérifier, je n'ai pas d'arme sur moi. Dois-je aussi souligner ma faiblesse physique qui m'empêche de participer à ces petits jeux de barbares ?
Certes, j'ai ce livre de magie, mais aucun sort sort offensif utlisé durant cette rixe n'y figure."

Au fur et à mesure qu'il parle, Milthon devient de plus en plus détendu. Il se redresse et parle au garde en le regardant dans les yeux.

"Interrogez bien les deux personnes que vous avez arrêtées, il y a encore des trucs pas clairs dans cette histoire... d'ailleurs, j'aimerai bien connaitre le fin mot de cette affaire..."

-En effet tu sembles bien trop honnête pour être d'ici ou alors tu dois cacher quelques chose. En attendant je vais préventivement te garder au frais. Un jugement aura lieu pour déterminer ce qui est faux de ce qui est vrai . Ainsi est la loi de Maudith. As tu à rajouter quelque chose sur ta déclaration??
Dit il d'un ton froid.

Sans montrer le moindre signe d'énervement, Milthon répond :

"C'est d'une injustice flagrante, mais je ne peux rien faire pour échapper à cette procédure, n'est-ce pas ?
Bof... si je suis bien traité, je m'en remettrai, j'imagine... °en levant les yeux au ciel, Milthon attrape discrètement un petit bout de cire dégoulinant d'un candélabre et le glisse dans une des poches de sa ceinture, puis adresse une petite grimace de dépis au garde.°
Pour ma déclaration, je n'ai rien à ajouter. Rien à retirer non plus. Je peux même la coucher par écrit si toutefois vous me fournissez le nécessaire. Si je reste dans les geôles de la caserne, j'aimerai être proche de celle du couples de bandit que vous avez arrêté, au moins pour comprendre pourquoi je suis ici."

-Bien suis moi . Je vais te conduire jusqu'à ta cellule avec un peu de chance ton jugement aura lieu dans 2 semaines. Sauf si tu m'apportes les preuves de ce que tu avances. Pour ce qui est de tes partenaires de cellules tu vas être content ce sont les agitateurs de tout à l'heure.
Il te fait signe d'entrer par un passage souterrain mennant à la prison.
[Prison (c'est un lien)]

apres avoir serpenté dans les rues a la recherche de la caserne je la trouvis.
-Bonjour quelqun pourais t'il me renseigner s'il vous plait ?

Un type en armure noire se retourne vers toi.
-Qu'est ce que tu veux Bige??
Dit il de façon assez hautaine.

Je répondis sur le même thon
-Le bige il cherche du travail, Mohsieuur.

Il se met à rire.
-Ici on privilégit la discipline. Une telle arrogance ne sied pas à un soldat. Qu'est ce qui me ferais prendre un azimuté dans ton genre??
Visiblement il te met à l'épreuve pour voir ta réaction.

-Apparament vous vous méfier de moi, on dirait que je vous fait peur, alors je ferait purement peur à d'autre personne. Non ?

-Je mettrais mon arme à votre service, je tire à l'arc et j'ai une dague pour me défendre, je tuerais si vous me le demandiez

L'officier semble plus que perplexe, son regard froid te jauge et tu entends les autres gardes chuchoter sur ton dos.

Garde - Les fils de chienne sont de sorti les gars !

Officier - Mais on ne t'en demande pas temps ! Du moins pour l'instant.

Un semblant de sourire se dessine sur le visage de l'officier, ou un simple rictus, difficile de faire la différence.

Officier - Je vais te laisser ta chance bige, commence par ranger les marteaux des gardes !

Il te pointe du doigts un tas de ferraille dans un coin de la caserne, en y regardant de plus près il s'agit de gros marteau en fer forgé, la plupart son couvert de sang séché ainsi que de fluide que tu ne parviens pas à déterminer.

Officier - Aligne moi ça !

Je regarda dans la direction que l'officier me montrait

(qu'est ce que c'est que ces horreurs sur ces marteaux)

Je regarda l'officier perplexe, je ne m'attendais pas à un travail de se genre. Je partit en direction des masses, je ne rechignât pas mais je n'en pensait pas moins, et contester ne plairait pas du tout à l'officier.

[hrp : pense à te relire]

Tu soulèves difficilement le premiers marteau, maladroitement tu te coupes la paumes droite, du côté des gardes ça ne rate pas, plaisanteries et réflections douteuses fussent à toutes vitesses.

[hrp : je me relis toujours et la je vien de relire mon post je ne voie pas m est le problème]

Je fis semblant de ne pas remarquer les moquerie

(ça se voit que ce n'est pas vous qui êtes à ma place.)

J'aurais aimé le dire à haute voix mais je n'en n'eu pas le courage, je continua sans rien dire de disposer les marteaux du plus petit au plus grand.

(bande de troll uni jambiste va)

[hrp : normal vu que je t'ai corriger...]

Un des gardes s'approche de toi, sans un mots il bouscule les marteaux qui tombe l'un après l'autre.

Garde - Oh je suis désolé !

Alors là j'en avait plus qu'assez, je laissa tout en plan et dit à l'officier.

"Trouve toi un autre larbin pour faire ça, moi en tout cas je me casse"

je répartit de la caserne tout énerver mais content

[Hrp : faudra que tu m'explique comment je renchaîne sur ça]
-Haha Oui bige! Casse toi t'es vraiment bon rien. Tu risque pas de faire de vieux os ici. Mais dit moi on a perdu la trace d'un type peut être que tu pourrais nous renseigner où il est, la dernière fois qu'on l'a vue il trafiquait avec un abishaï.
Il te saisit par le ol de ton vêtement.

Un officier se dirige vers vous, il a pas l'air content.
"Vous vous croyez où pour gueuler ici comme des putois. Qu'est ce que vous voulez ? Vous voulez finir au trou, mmmh ?"