Village

Le portail s'ouvre sur un petit sentier, se terminant en cul de sac derrière toi, tu es en plein milieu d'une dense forêt, dons les feuilles jaunissantes marque l'approche de l'automne. Tu observes tes mains, toujours aussi squelettique. Hécate aurait-elle oublié de te donner forme humaine ?
Soudainement, une violente douleur te foudroie, t'es organes, ou plutôt se qu'il pouvait bien en rester, grossissent, la moisissure et les traces de putréfaction disparaissent, les muscles réapparaissent recouvrant t'es os, suivit de ta peau. Ton visage te fais atrocement souffrir, tu reprends forme humaine, t'as forme d'avent, avent la mort. Tu es vivant à nouveau, mais esse vraiment une bonne chose ?

Hécate, ne mentait pas, il n’y avait pas de trace de magie, pas de celle que tu connaisses en tout cas. Le flux occulte du portail irradie le mal et le pouvoir.

Carte (Elle serais mise à jour au fil du jeu, une légende t'aideras à t'y retrouver)


11 : habitation du grand père de Cathrine et Pierre.

Je sourit de toutes mes dents fraichement repoussées.
J'arrache le pagne qui le saignait la taille, puis touche mon corps, complètenement nue.
Puis je met mon plan a excécution: je plante aux abords du portail les deux bannières, et me mets en route le long su sentier, et me repassant intérieurement toutes les trames de ma "tragédie utopique" ...

Tu avances donc totalement nue dans la forêt, le sentier est balayer par de vent froid, un frisson te parcoure l'ensemble de ton corps, tu finis même par avoir la chair de poule, voila des sensations que tu n'avais plus ressentis depuis longtemps.
Après quelques minutes de marches, tu approches d’une intersection.

La glaceur de cette journée faisait s'assimiler mon sexe à un misérable escargot, et cette vision me fit tordre de rire l'expace de quelques instants.
puis reprenant mon sérieux, je prend le chemin vers le nord (gauche à partir de ma position), et prenant l'air hébété

Ce chemin te conduit à un minuscule ruisseau qui semble traverser l'ensemble de la forêt, là, deux jeunes enfants, un garçon aux cheveux noir et une fille aux cheveux blonds et bouclés, joue en sautant à pieds joints dans la boue, ils ne t'ont pas remarqué.

Je tente de me faufiler entre les petits arbres de la clairière (si il y en a), puis grimpe à l'un deux sans faire le moindre bruit, pour finalement tomber ""du ciel"" juste à côté d'eux

hrp: le but est de faire en sorte que l'imagination des deux enfants leur fasse croire que je viens d'ailleur, comme si j'étais tombé du ciel ^^

Tu grimpes maladroitement dans l'arbre le plus proches, te griffant au branches. Pour finir tu tombes lourdements sur le sol. Les enfants cessent leur jeux, s'approche de toi.

Fille - il est mort ?

Le jeune garçon te pique avec un bâton.

Content de son talent de comédien de très très haut niveau, Requiem se relève tant bien que mal, en essayant de garder sur le visage, malgrès la pique du garçon contre son flanc, un air hébété.

"Je ...
Je ...
Mais où suis-je?
J'étais ... au Paradis... c'était merveilleux ...
Je, je ...
Qui êtes-vous?"

Garçon - il est vivant ! il est vivant !
Fille - et tout nu...
Garçon - t'es un ange c'est ça ? comme dans la bible ?
Fille - mais nan il a pas d'aile n'y d'auréole !
Garçon - et ben il les a perdu en tombant du paradis !

Requiem se redressa, et sourit en son fort intérieur. Tout avait l'air de bien commencer.

"Oui, c'est plus ou moins ça les enfants.
Mais vous savez *pose son regard sur le visage de la jeune fille* vous êtes tous deux presqu'aussi beaux que des anges ...
C'est incroyable ...
*Souris*
Néanmoins, tout est tellement différent là haut."

Requiem repense a ce qu'a dit le jeune garçon, et tente de se souvenir des ses cours de théologie.

"La Bible ...
J'ai étudié durant presque toute ma vie la Bible. J'ai tenté d'y deceler les traces menant au Paradis. Puis je suis mort, et j'avais 76 ans."

*Les deux enfants semblent surpris*

"Et je suis aller au Paradis. J'y étais jeune. Beau. Et tout est tellement merveilleux là-bas..."

"Mais, mais ??!!
Et le vortex?"

*Requiem se met à courir en direction du vortex, espérant que les deux enfants le suivent, et puissent témoigner par la suite que ce passage existe bien*

Les enfants te suivent, il semble effrayé et fasciné par le vortex.

Garçon - c'est quoi ?
Fille - pourquoi t'es tombé du paradis, ta pas été gentil ?

Requiem pose sa main sur la tête de la petite fille, en signe d'imposition des mains.

"Je vais tout vous expliquer, mais d'abord, amenez moi a vos pères s'il vous plait, il faut que je vous raconte à vous tous, pour que je trouviez enfin votre voie."

Fille - pépé veux pas comme rapporte des inconnus.

Fille - On pourrait revoir maman !
Garçon - Non c'est pas possible !
Fille - Mais je veux la revoir...

Garçon - tu parles bizarre, j'ai pas confiance...

La jeune fille semble enthousiaste.

Fille - Elle est très grande et très mince, des long cheveux roux, et des yeux verts !

"Hum ...
*Fait mine de réfléchir*
Je me souviens oui ...
Tu lui ressemble beaucoup tu sais"

Dut-il en posant son regard sur la jeune fille.

Le jeune garçon te regarde d'un drole d'air sceptique.

Garçon - Jte crois pas !
Fille - Moi je le crois ! je vais le conduire près de papy !
Garçon - Non ! Je veux pas !

"Ecoute moi mon jeune garçon.
Qu'auriez vous a craindre de moi ?
Je suis seul, nu, sans aucune intention de vous malnener ...
Si mon but avait été de vous blesser, toi et ta soeur, je l'aurez deja fait ?
Et qu'aurais-je a y retirer? Mon seul but et de vous amenez a comprendre que l'existence que vous menez ne représente rien au vis de ce qui vous attends La Bas.
Ce monde est tellement merveilleux qu'il mérite d'être plus peuplé ...
Tiens, je vais te prouver mes attentions..."

Requiem passe le torse au travers du portail, et prends de l'autre côté l'un des mets succulents qu'il avait demandé à ses hommes de préparer (s'il l'ont fait), puis le sort du portail et le présente aux deux enfants, en s'agenouillant pour accroitre l'effet de bénédiction ....

Vae te tend deux morceaux de tarte aux pommes, tu sais que ce ne sont que des illusions plus vrais que nature, comment aurait-il pu trouver de la vrais nourriture dans le plan négatif.
Tu vois leur véritable nature : deux morceaux de viande de forme triangulaire grouillant d'asticots.

Requiem sort les deux morceaux de viande du vortex (si leur illusion leur permet au moins de garder une forme de tarte au pommes l'espace de quelques secondes/minutes) et les fait miroiter à la face des deux enfants.

"Vous voyez bien que je ne mens pas.
De l'autre côté, il suffit de tendre la main pour attraper ce genre de mets.
Et encore, ce n'est pas tout ... Vous pourriez y revoir vos proches morts, vous y forger une vie bienheureuse ... Bref, le bonheur éternel, sans la moindre crainte de la mort ...
Néanmoins, ce qui est pris à ce plan doit aussi lui être rendu ... Sans quoi il se transformera en ce que représente le nouveau monde ...
Ainsi, là-bas, au sein du Paradis, ceci représente deux morceaux de tartes aux pommes, car là-bas n'est que succulence. Alors qu'ici, ce monde correspond à quelque chose de moche, de sale, de dégoutant aux vues de ce qu'il y a là-bas ..."

Et Requiem attends que les morceaux retrouvent leur vraie forme pour confirmer ses dires

Émerveillé, puis vite découpé par la véritable apparence des morceaux de tarte, les deux enfants reculent dégoût.

Garçon - Je sais pas...
Fille - Moi je veux revoir maman, je te conduit chez papy !

La petit fille t'attrape la main.

La sensation de tièdeur de la main de la jeune fille réveille en Requiem un désir puissant de sexualité trop longtemps inhinbé par sa condition physique.
Il place néanmoins ce sentiment de côté, et en suivant la jeune fille, tente de se rapprocher du garcon pour lui faire comprendre qu'il ne lui veux aucun mal (en apparence bien sûr ^^), et lui sourit d'un air d'espoir.

Garçon - d'accord... mais moi si y a un problème se sera de ta faute.

La petit fille tire la langue à son frère.

Fille - mmhhh !!!

Elle se tourne vers toi, la tête haute et pleine de fierté. Elle se tire pour que tu avances et écrase le pied de son frère en passant.

Fille - On y va ?
Garçon - je le dirais à papy !!!