Portail Des Carcères

Ladislas croisa les bras et un sourire malveillant prit place sur ses lèvres tandis qu'il toisait l'homme d'un regard glacé, il pointa un long doigt fin vers l'homme avant de parler d'une voix rauque, semblant venir d'outre-tombe, une voix glaciale, comme un venin.

"Pauvre petit minable, que penses-tu pouvoir accomplir en te dressant contre Moi ? Je ne te pardonnerai pas cet affront." Les yeux de Ladislas prirent une teinte écarlate tandis qu'une aura noire se développait autour du Vampire. Les choses sérieuses allaient commencer. Ladislas s'avança lentement, d'une façon noble, son kukri dans la main droite avant qu'il n'étire ses lèvres en un nouveau sourire et ses canines plus longues que la normale apparue et sans plus attendre il sauta vers son ennemi, en bougeant dans tous les sens pour le décontenancer, de part sa grosse armure, il ne pourrait pas facilement se déplace. Au moment ou il arriva devant son ennemi, il sauta et fit un salto avant pour arriver derrière son ennemi avant de tenter de lui enfoncer violemment une nouvelle fois son kukri dans la nuque.

Le garde est pris de cour, il tombe à la renverse, prisonniers de son armure telle une tortue sur le dos, tu parviens sans mal à transpercer la chair de sa nuque.

De son côtes, Gnark ne peut qu'assister à la scène, une goutte d'eau tombe sur son épaule, puis une autre, et encore une, puis une petit filet d'eau s'écrase sur son crâne.
Avant qu'il ne puisse réagir, des trombes d'eau semblant venir de nul par s'abattent sur le gobelin. Après quelque seconde, celui ci se relève, puis quelque chose de beaucoup plus dur tombe sur la pauvre créature... (Aédan)

Le Vampire retira la lame de la gorge de l'homme et résista à l'envie de le mordre, il y avait une autre personne non loin et il valait mieux qu'il ne révèle pas sa condition de Vampire. Ladislas se pencha vers le type et le fouilla rapidement en quête d'objets intéressant avant de s'en aller en direction de l'Auberge pour recevoir son du.

[Auberge]

J’eus comme un flash-back dans ma tête je me souvins de mes dernières minutes, alors que je grimpais en direction de ce qui devait être ma sortie de secours et ensuite de ma chute.
Je sentis un choc dans mon dos, étais-je mort étais ce mes derniers instants de vie, puis, je sentis la chaleur sécher l’eau sur mon visage étais ce la lumière qui me guiderait vers le repos éternel.
Puis j’émergeais doucement de ma rêverie, j’essayais d’ouvrir mes yeux mais cette lumière m’aveuglait, après tant de temps passés dans l’obscurité j’ouvris doucement les yeux, et tentais de me relever, je pris appris sur une forme ovale et me levais avec quelque difficulté j’étais encore sous le choc, ma respiration était rapide.
Je frottais mes yeux et les ouvris au monde nouveau, ce fut le choc, ma respiration doubla en rapidité.
Je fis aussitôt un pas en arrière mis ma main, qui tenait toujours la traîtresse, haut au dessus de ma tête prête à frapper.
Puis avec une voix qui montrait mon effroi, je tentais de dialoguer.

"On..on est où là?"

Je ne répondis pas à l’acte du vil gobelin, ça devait sûrement être un de ces mendiants qui vivent en ville.
En fait, je venais de voir quelque qui me glaça le sang. Un mort.
L’offense du gobelin sortit immédiatement de mon esprit et je commençais à me diriger vers le cadavre répandu sur le sol.
Une fois suffisamment pret, je me baissai et commença à l’examiner
L'homme tenait un glan dans ça main, puis par réflexe je le mis dans ma poche, puis je continuais d'examiner le mort.

Un autre garde passait juste à ce moment .
-Eh vous qu'est ce que vous faîtes ici. Pourquoi ce garde est à terre répondez dessuite!

La flèche rebondit sur les protections des jambes du garde.
-Au nom de la loi de Maudith je vous arrêtes vous êtes passible de la guillotine.
Au moment où tu emportes Aédan le Gland qu'il a dans la main semble ouvrir un portail.
[si vous franchissez---> [Gaeloth]

Le cris du garde me fit sursauter, mais au moment ou je me relevais pour voir d’où il venait on m’empoigna de force.
Puis quelque chose apparut encore un de ces cercles maudits.
A la vue de celui ci je ne pus m’empêcher de pousser un crie. Rien qu’à sa vue mon cœur doubla de vitesse. Je tentai de me débattre des sales pattes de la créature, mais au moment ou je parvins à me défaire de ces bras je trébuchai en arrière et tombai de une nouvelle fois dans un de ces cauchemars, vers un nouvel endroit à problème