Habitation

Vous voyez une pancarte ou est inscrit une note signé par le maire d ela ville

quarantaine décrétée

La jeune fille s'avance alors vers la pencarte, intriguée, elle s'arrete juste devant. Lentement, elle lève une douce main tremblante pour venir froller les lettres du paneau, les surcils froncés. Puis elle rabaisse sa main, observant à nouveau autour d'elle dans un doute total, mais reste silencieuse.

Une jeune femme toute vêtue de rouge t’aborde, ses longs cheveux roux flotte à la manière d’algue et brille d’une lueur surnaturelle.

Femme – Bonjour à toi, serais-tu perdu ?

Elle pose alors ses yeux sombres et vide sur la femme, étonnée et intriguée, elle reste un moment silencieuse, la détaillant. Puis entre ouvre ses lèvres, sa voix froide et legerement cassée se faisant entendre.

"Ce serait difficl de ne pas l'être"

Elle reste pourtant face à la pancarte, ayant juste tourné la tête vers l'inconue.

Femme - Peut être pourrais-je éclairé ton chemin ?

Le jeune fille penche alors legerement la tête sur le côté, observant plus attentivement la femme. A nouveau, elle refléchit, finissant pas murmuraer de cette même voix froide et distante.

"A quoi bon?... je n'ai nul but..."

La jeune femme recule d'un pas, une profonde chaleur émane de son corps, à la fois brûlante et réconfortante, elle se rapproche de toi et te susurre à l'oreille.

Femme - Tu as un but, sinon, à quoi bon exister ?

Après les paroles, elle se recule legerement, regardant l'inconnue à ses yeux, elle sourit ensuite legerement, un sourire plus moqueur que respectueux. Une brise froide entourant la jeune fille, elle murmure à son tour pas le même ton.

"Peut-être pour répondre à cette question..."

La jeune femme sourit, lève les yeux au ciel.

Femme - Tu t'enchaînes au désespoir, enfermé dans une prison de désespérance, tu à la clef, mais tu refuses de sortir, par orgueil ? Par *souffrance* ? Peut être as-tu peur de sortir de ta prison et d'affronter le réel.

Elle regarde la femme alors, le regard toujours aussi sombre et impernétrable, elle reste impassible. Les questions se bousculant dans sa tête, elle ne laisse pourtant rien voir, silencieuse dès maintenant.

Femme - Réfléchie bien...

La jeune femme s'écarte de toi, reculant de quelque ps, puis se tournant partant vers un lieu plus sombre.

[Rue de l'homme écartelé]

Jack arriva près des habitations discrètement, il y avait quelques femmes qui parlaient, Jack se faufila derrière un mur pour ne pas se faire repérer, puis entra dans la maison de la future victime, il faisait assez sombre, Jack avançait accroupis jusqu'au salon de la maison.

*Le voila*

Se dernier y était, Jack s'approchait tous doucement derrière le mari, malgré sa grosse épée, puis se leva sans faire de bruit et envoya son épée en direction de son coup pour lui trancher d'un seul coup.

*Crève*


(hrp: il envois pas l'épée, il la garde dans les main, il fait seulement le geste)

La jeune fille suit alors les mouvements de la femme du regard, songeuse toujours, elle finit par demander d'une manière assez inattendue et rapidement, toujours aucune expression dans les yeux.

"Bien!... Que voulez-vous?..."

Jack

Jack arrive pas derrière l'homme, ce derniers ne se doute de rien, Jack le tue, décapitant sa victime, sa tête roule sur le sol, son corps s'effondre.

{} Tu gagnes 100 pts d'exp

Emerentia

Femme - Je cherche plusieurs personnes, j'ai du travail à leur offrir.

Jack laissa le corps inerte sur le sol.

*sa femme sans occupera*

Puis il repartit aussi discrètement qu'il était arrivé, pour rejoindre la femme.

[Rue de l'homme écartelé]

"...Du travail?..."

A nouveau, la jeune fille penche la tête sur le côté, refléchissant.

*Cela pourait peut-être m'aider... Voyant ou ce chemin me ménera...*

Redressant sa tête.

"...Et quoi comme travail?.."

Femme - ET bien, vous rendre dans un monde primaire, régler deux ou trois problèmes pour moi.

Vous observant avec attention, elle demande encore:

"Expliquez donc... Que gagnerai-je en échange?..."

Femme - Un but ?

Cette réponse étonna la jeune fille. Elle Secoue la tête comme pour se remettre les idées en place. Puis fixe à nouveau la femme. Un très leger sourire vient finalement étirer les lèvre de l'enfant.

"... Peut-être bien... "

Femme - trouve des compagnons et revient me voir

La jeune femme te fait un signe de tête en quisse d'au revoir et s'éloigne.

Arès

L'homme te conduit devant une vieille batisse en métal et en bois, elle tient à peine debout et est envahi de lierre rasoir.

"Tu vis seul ?"

Je regardais le citoyen de haut sous mon armure et je fesais en sorte d'en imposer grandement.

Homme - Je vis avec ma femme et ma fille...

Homme est effrayé, des goutellete de sueur perle sur son front