Porte de la citée

L'escalier semble très long, après une bonne centaine de marche, tu atterrie dans une petite antichambre, sobre, ne comportant qu'un meuble unique et quelque bougie éteinte.

Emilie - J'ai peur euh... comment tu t'appelles ?

Je me nomme Aedan, avec moi tu n'auras rien à craindre.
Puis je lui fait un grand sourire.
Je prends Emilie par la main me dirige vers le seul meuble de la piéce fouille à l'intérieur et prends les bougies.
Ensuite je me dirige vers la porte.

Mise à par de la poussière le meuble et vide et les bougies tombent en morceau alors que tu tentes de les saisir.
Et si ce n'était pas encore assez la porte est fermé à clef.

A croire que ce n’était pas mon jour de chance, je lâchai la main de ma protégé et me plaçai au centre de la pièce fit le tour de celle ci des yeux et réfléchis quelques instants.
Le meuble me semblait en bien piteux état mais peut ferait il l’affaire.
Je tentai de le déplacer vers le centre de la pièce pour m’en servir comme bélier.

Tu pousses le meubles qui est bien trop lourd pour faire office de bélier mais tu dévoile une clef qui était caché sous ce dernier.

A la vue d’une clef sur le sol je me sentis idiot, il y avait quelques secondes j’étais sur le point de me détruire une épaule sur une porte.
Je m’accroupis pour pouvoir ramasser la clef et la montrai à Emile, elle me fit un sourire amusé.
Ensuite je me dirige vers la porte et pointe la clef vers la serrure, je l’enfonce dedans et tourne pour pouvoir ouvrir la porte.

Alors que tu glisses la clef, une vive lumière émane de la serrure et tu te retrouves projeté contre l'escalier, heureusement tu n'as rien.

Sans comprendre ce qu’il venait de se passer, je m’étais retrouver propulser d’un bout à l’autre de la salle. Mon corps était étalé de toute ça longueur dans les marches. J’avais été aveuglé pendant quelques instant.
Quand je pus voir de nouveau, je vis Emilie qui m’aidait à me relever.
Elle portait sur moi un regard inquiet, je lui fis signe de la tête que tout allait bien.
Avant de traverser passer la porte, je me dirigeais vers le trou de la serrure et fis comme si je venais de comprendre ce qu’il s’était passé.

Emilie rit de bon coeur elle semble avoir trouvé ta petite cascade assez drôle.

Un petit filet de fumé s'échappe de la serrure visiblement elle était piégée.

La port c'est entre-ouverte d'elle même.

Un frisson me parcourt la nuque à l’idée de toucher la porte, et s’il y avait encore un piége.
Je n’avais pas trop le choix je devais ouvrir la porte. Je mis ma main sur le coté de la porte et l’ouvris.

Tu ouvres la porte sans dommage, de l'autre coté, un long couloir s'étend sur une vingtaine de mettre. Au bout, une porte en bois semblable à celle que vous venez de passer.

Emilie - J'aime pas ce couloir...

Les paroles d'Emilie me firent sourire.
c’est cette ville que je n’aime pas.
Puis soudain quelque chose me cassa dans mon élan, un souvenir comme si Emilie avait ressentis le premier piége.
Une goutte de sueur coula de mon front, je ne pouvais qu’aller de l’avant.
Puis après un petit instant de réflexion je m’avançais dans le sombre couloir, prêt à sauter en arrière au moindre cliquetis de mécanisme.

Lentement tu avance dans l'inquiétant couloir, tu dépasses bientôt la moitié quand soudain ton pied se pose sur une dalle de pierre qui s'enfonce de quelque cm.

La sueur coulait à flot de mon front. Je n’aimais vraiment pas ce couloir si étroit, à chacun de mes pas je me sentais en danger, c’était de plus en plus dur de faire un pas puis un autre.
Mon cœur battait à m’en faire péter les cotes.
Soudain je sentis mon pied s’enfoncer peu à peu dans le sol de quelques pouces.
Au moment ou j’eu voulu sauter en arriére je sentis une autre force me repousser vers l’avant. Je perdis contrôle de mon corps et m’enfondra sur le sol. Le stresse était monté si vite en moi que je venais de m’évanouir.
PS:dur dur de jouer les dur à cuirre...

Plongé dans le noir, une petite voix t'appelle, criant ton nom à tout rompre, elle pleure et hurle des "ne me laisse pas toute seul !".
Comment as-tu pu la laisser ?
Le froid des dalles de pierre transperce ton corps comme autant de petites morsures.
Tu ouvres les yeux sur un plafond gris et sombre, ainsi que sur un petit visage aux yeux rougis par les larmes. Sans vraiment comprendre ce qui ce passe deux bras ce glissent autour de ton cou et te sert très fort.
La joue mouille d'Emilie te fait frissonner et te sort de ta torpeur.
Toujours étendu sur une dalle affaissé de quelque cm.

Ma tête me faisait mal, je revenais doucement à la vie, et mes yeux s’ouvrirent sur le visage d’ange d’Emilie. La voir ainsi me fit du chagrin je me sentis si coupable, comment ai je pu faire une tel chose, la laisser ici seul.
J’essayai de me relever mais mes cotes me faisaient mal, mon corps était encore sous le choc. Je mis ma main au mur pour me relever, mais mis toute de suite les genoux à terre pour être à la hauteur de la petite fille.
« Je suis si désolé, je ne voulais pas, pardonnes moi, je serais vaillant la prochaine foi, je vais devenir quelqu’un de fort pour pouvoir défendre les gens, je suis si faible. La vie est si difficile ici. »
Ensuite je pris la main d’Emilie toute mouillé à force d’essuyer ses larmes et me dirigea vers la sortie.
Les larmes coulaient le long de mes joux.

Silencieuse, elle marche à tes cotés, regardant droit devant elle. Un tremblement brusque et soudain vous secoue l'espace de quelque seconde, sans que tu comprennes ce qui t'arrive, le sol ce dérobe sous tes pieds.

[quartier central]

Le tieffelin continuait d'user de reptation pour avancer jusqu'au porte de la ville. Une fois fais il chercha un endroit où mettre en sécurité sophia;. il la posa à l'ombre. Il observa autour de lui pour voir si il ne restait pas quelques cadavres d'Abishaïs. une idée avait germé dans sa tête et il voualis en vérifier la possibilité.

Le mur du dôme ce dresse telle une enceinte brûlante et transparente, une chaleur infernale s'en dégage et tu ne peux pas t'approcher à plus d’une dizaine de mètres.

Le sol est couvert de cadavre calciné de démon et de gens, la plupart méconnaissable, tu repères deux cadavres d'abishaï.

Sophia reste inanimée.

Visiblement quelqu'un ou quelque chose est déjà passé avant toi, les cadavres ne comportent aucun objets, il ne reste d'eux que leur squelette calciné.

La chaleur ne t'atteint, au contraire, feux et flammes tourbillonnent autour de toi, te procurant une douce et ardente énergie.

Tu traverses le mur magique, le magma coule sur ton corps telle de l'eau, pareil à si tu traversait le rideau aquatique d'une cascade.

Heureuse, ce mot est celui qu'il faut coller sur son front pour décrire son état avec le plus d'exactitude. Non seulement elle a un ticket pour quitter rapidement cet enfer -au propre comme au figuré- mais en plus, la chaleur, autrefois une redoutable ennemie, lui est à présent la plus agréable des douceurs. Le magma bouillonant coule sur elle, faisant découvrir à l'Elfe des sensations totalement nouvelles et fascinantes. Elle rit comme une fillette qu'on le chatouillerait gentiment, quittant lentement le cauchemar vivant d'Aéland... se dirigeant vers les montagnes qu'elle aperçoit au loin, avec la ferme idée d'y trouver une grotte pour se reposer...

[==>Désert->montagne]